Fiche de lecture sur l’intelligence artificielle

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Fiche de lecture, 22/11/24

Compétence 8

UE 6.1

Fiche de lecture

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Définition de l’intelligence artificiel : C’est un processus d’imitation de l’intelligence humaine qui repose sur la création et l’application d’algorithme exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d’agir comme des êtres humains.

Pour se rapprocher le plus possible du comportement humain, l’intelligence artificielle a besoin d’une quantité de données et d’une capacité de traitement élevé.

1. Identification de l’œuvre avec la référence bibliographique du document selon les normes APA 7.

« Dire oui et non aux outils d’intelligence artificielle pour préserver la relation de soin » a été écrit par Mathieu Guillermin, Federico Giorgi et Nathanaël Laurent en juin 2024. Il se trouve dans ETHICA CLINICA (113,2024), dans le contenu de l’intelligence artificelle : pour le meilleure et/ou pour le pire.

https://researchportal.unamur.be/fr/publications/dire-oui-et-non-aux-outils-dintelligence-artificielle-pour-pr%C3%A9ser

1. Contextualisation de l’auteur et du document

Nous retrouvons comme auteurs de cette article, Nathanaël Laurent, qui est maître de conférences à l’Université de Namur (Belgique) et est enseignant au CPFB (Louvain-La-Neuve). Il a écrit 14 articles : « Les techniques d’intelligence artificielle : histoire, développement et défis. (Septembre 2023) » ; « Le principe de jouissance à la lumière de l’imprédicavidité et de la généricité. (Juin 2021) » ; « Biological Network from the relational biology perspective. (Octobre 2019) ». Il fait également des recherches en philosophie des sciences, en éthique et en épistémologie. Ensuite il y a Federico Giorgi qui est philosophe, doctorant à l’Université de Namur, en Belgique. Et pour finir Mathieu Guillermin, docteur en physique et philosophie, maître de conférences de l’Université Catholique de Lyon. Le contexte du pourquoi ces auteurs ont voulu écrire cet article, c’est tout simplement pour montrer à la population que que l’intelligence artificielle peut être positif dans certains domaines et néfaste dans d’autres.

1. Résumé du document

A ce jour, l’interaction entre être vivants ce fait rare. En effet depuis un certains, une intelligence artificielle s’est développée aux seins de nos environnements, comme par exemple en médecine, restauration, dans l’armée aussi ; dans tout type de métier. Ce que cet article veux nous expliquer c’est que l’intelligence artificielle peux nous apporter de l’aide et à la fois agir négativement sur les êtres vivants et sur la cohabitation. Elle prend de plus en plus de place dans notre vie et commence dans certains domaines à prendre le pouvoir.

Dans cet article, les auteurs veulent montrer dans un premier temps que l’innovation de l’intelligence artificielle joue deux rôles. En effet elle joue un rôle positif en venant en aide ou aux besoins des êtres vivants (sur des recherches, ou dans la médecine (opérations dirigées par des robots)) et un autre côté néfaste et dangereux, où ils laissent paraître que l’IA prend de plus en plus de place, qu’elle commencé à contrôler les êtres humains ou même arrivé au point que le relationnels disparaît petit à petit. C’est pour cela que l’auteur site : « Progrès ou danger ? ». Il faut également savoir que l’IA n’est pas toujours fiable ; par la suite l’IA ne ressemble pas du tout à une personne, elle ne parle pas ; est dirigée ; n’a pas d’émotions et n’interagit pas. Les auteurs insistent donc sur le fait qu’il faut être prudent face à elle ou lorsque l’on utilise : « apprendre sans cesse, effectuer un nombre incroyable de tâches différentes, s’adapter aux situations nouvelles, imaginer et créer ressentir des émotions, etc.. », tous ce qu’une IA peut effectuer u ne pas effectuer sauf si elle reçoit des ordres commandés par nous. Pour finir, dans cet article, les auteurs on mit plein de citations faisant références dans le passé, comme les Amish aux Etats-Unis ; qui eux sont contre l’IA : « non », « à certaines technologies fait aussi partie du paysage bigarré de notre communauté humaines ». On remarque aussi que dans cet article, ce trouve beaucoup de remise en question, notamment à poser des limites, garder le relationnels dans le monde médical comme dans d’autres.

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