Les médias

1. Pourquoi les sociétés modernes interrogent-elles la communication? (2 points)

Les sociétés modernes interrogent la communication parce que celle-ci devient un problème. En se questionnant, ils tentent d’en comprendre tout ce qu’englobe la communication et par le fait même, de la comparer en quelque sorte à ce que les sociétés anciennes jugeaient autrefois acceptable. (La transcendance divine) Comme toute évolution, les sociétés modernes ne veulent pas refaire les mêmes erreurs que leurs prédécesseurs, alors voilà pourquoi les sociétés modernes se questionnent sur la communication.

2. Comment est né le prolétariat urbain? (2 points)

Le prolétariat urbain est né à l’époque du Marxisme. Plus précisément, cette appellation provient de Karl Marx lui-même. À cette époque, le travail de la campagne devenait de plus en plus rare et difficile. Ce qui poussa de nombreuses familles rurales vers les grandes villes. Avec le temps, les paysans deviennent tours à tours des travailleurs des grandes villes. Ils ont quitté la ferme pour devenirs des travailleurs d’usine. Ce qui à l’époque était beaucoup plus payant et facilement envisageable plutôt que le travail acharné des terres. D’où en d’autres mots, le prolétariat urbain.

3. Expliquez la différence entre la gesellschaft et la gemeinschaft en ce qui a trait au rapport entre l’individu et la communauté. (2 points)

Premièrement, la gemeinnschaft représente la société traditionnelle ou autrement appelée sociétés anciennes et la gesellschaft quant à elle, représente les sociétés modernes. Dans la gesselschaft, les individus sont individualistes. Personne ne connait réellement les autres membres de leurs communautés et ce qui par conséquent leur apporte une certaine liberté d’action. Tandisque dans les sociétés traditionnelles (la gemeinshaft) tout le monde se connaît et tout le monde se surveille ce qui restreint grandement leur liberté d’action.

4. Pourquoi, selon Karl Marx, la société moderne a-t-elle remplacé la société traditionnelle? Cette situation est-elle permanente? (2 points)

Oui, parce que Karl Marx explique que le changement de société c’est exécuté à cause de la lutte des classes et que des contradictions économiques qui : « sont le moteur de la transformation sociale ». (Attallah, 2015, 38) Cette reconnaissance de ces contradictions économiques est la source de la disparition des sociétés anciennes (la transcendance divine) et non, ce n’est pas une situation qui sera permanente, car selon Karl Marx, c’est une lutte continuelle. Elle n’aurait donc jamais de fin à proprement dite.

5. Vrai ou faux? Expliquez.

La croyance en la transcendance divine peut avoir pour effet de maintenir le statu quo dans une société. (2 points)

Vrai. Auparavant, à l’époque des sociétés anciennes / traditionnelles, la seule vérité provenait du roi et lui la détenait de dieu. Aucune opposition ne pouvait se faire entendre parce que seul le roi détenait la vérité absolue. La vérité provenait de dieu. On pourrait admettre que la transcendance divine est un règne de conformation. Aucune personne n’osait contredire la parole du roi ou plus précisément, la parole de dieu donc oui, le statu quo était maintenu grâce à la croyance en la transcendance divine.

6. Comparez l’acte de communication dans la société traditionnelle et dans la société moderne. (2 points)

Pour ce qui est de l’acte de communication, elle est beaucoup plus compliquée dans les sociétés modernes. Cette complication vient du fait qu’elle amène les interlocuteurs modernes à communiquer de façon plus spontanée et plus ouverte. De ce fait, les interlocuteurs sont donc moins hiérarchisés et plus facilement adaptables. Contrairement aux gens qui vivaient à l’époque des sociétés anciennes / traditionnelles qui ne devaient en aucun cas s’exprimer contre la parole du roi. En fait, l’énorme différence entre ces deux sociétés est bien évidemment la liberté d’expressions.

7. Qu’est-ce qui différencie essentiellement la masse moderne de la masse ancienne? (2 points)

Tout simplement, la masse moderne est un nombre. Comme le mentionne le texte ; « Une agglomération plus ou moins mouvante de personnes antonymes. » (Attallah, 2015, 43) Il n’est donc pas possible de trouver une conclusion à ce qu’est la masse ancienne, car il ne s’agit que d’un survol qui ne fut pas réellement approfondi. La masse moderne elle, se montre beaucoup plus précise et plus mature. Comme l’est mentionné dans le texte ; « Elle est le sujet politique de l’État moderne. » (Attallah, 2015, 43) La masse moderne est l’objet de beaucoup de nouveaux services spécialisés. Elle en est donc la toute première force productive de l’État.

8. La masse est conçue différemment selon l’angle sous lequel elle est envisagée. Associez les différentes conceptions de la masse (colonne de droite) aux théories, régimes ou entités qui s’y sont intéressés.

1. Théories économiques du 18e siècle = c) force de consommation

2. Capitalisme = e) force productive

3. Marxisme = a) émancipation ouvrière

4. État-nation = c) force de consommation

5. Sciences sociales du 19e siècle = b) race

6. Industries culturelles = d) clientèle

9. Selon Gustave Le Bon, qu’est-ce qui distingue la foule d’une simple agglomération de personnes? (2 points)

Selon lui, une foule se rapporte inévitablement à la race. Pour lui, il entend le mot race une sorte de « mélange d’origine ethnique, de trait anthropologique, comme la couleur de la peau et d’origine sociale. » (Attallah, 2015, 53) Pour Le Bon, la race est la variable déterminante d’une foule, la race peu même, selon lui, nous permettrait de savoir si les foules seront tempérées, sauvages, déterminées, etc. » (Attallah, 2015, 54) Il s’intéresse aux foules dites selon lui ; « psychologique ». De plus, il dit que cette foule n’est pas obligée d’être nombreuse. Selon Le Bon, toute foule psychologique est ; « gouvernées parce que Le Bon appelle une loi psychologique de l’unité mentale des foules. » (Attallah, 2015, 51)

10. Malgré ses lacunes, pourquoi la théorie de Le Bon est-elle importante pour

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