Le vin des chiffonniers

Dans « Le vin des chiffonniers », les bruits de la nature ou encore la musique sont courants au fil de la lecture. Le bruit du « vent » est présent, dès le deuxième vers.

L’odorat est développé à la cinquième strophe avec les mots « parfums » et « odeur ». C’est alors que la musique intervient dans le texte avec « des clairons, […], des cris et du tambour » au vers 24. Le « vin » est une fois de plus présent dans le poème, comme le montre le vers 34 car Baudelaire veut échapper au malheur qui le remplit, il noie sa rancœur avec l’alcool, une chose sacrée pour lui.

Dans « La mort des amants », la notion du toucher est la plus courante et la plus agréable avec le toucher du lit avec « Des divans profonds » qui porte des « odeurs légères » (vers 1). Les fleurs rejettent une odeur et sont un symbole de l’amour entre les deux amants. Grâce à la notion des sens représentés, on identifie les personnages du poème comme étant très proches : ils ne forment plus qu’un et au final ils sont prêts à s’aimer davantage chaque instant.

Dans « L’amour du mensonge », c’est aussi la notion du toucher qui est plus courante avec le moelleux de l’oreiller qui est « caressant » comme le montre le vers 16.

La musique fait partie du poème, au vers 2 « [Le] chant des instruments […] se brise au plafond ».

Le jeu du regard est aussi présent avec les mots « regard » (vers 4), « yeux » (vers 8 et 17).

Le goût est illustré par les « saveurs souveraines » du « fruit d’automne ».

Le dernier sens, l’odorat, est interprété avec le mot « parfum » au vers 15.

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