Le siècle des Lumières
Cours : Le siècle des Lumières. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar shadok • 19 Janvier 2013 • Cours • 319 Mots (2 Pages) • 1 084 Vues
LES LUMIERES
I- 1) Pourquoi la dénomination "lumières" ?
Cela évoquent le passage de l’obscurantisme à une pensée et une action libres, éclairées par la raison.
2) Quelles sont les valeurs essentielles défendues par les Lumières ?
Les valeurs essentiels défendues par les Lumières sont la liberté de l’individu et la souveraineté du peuple, le bien-être humain. De plus les hommes, appartenant à la même espèce, possèdent des droits inaliénables.
3) Quelles hommes ont incarné l'innovation des Lumières et pourquoi ?
Les hommes qui ont incarné l'innovation des Lumières sont Rousseau et Mozart car tous les deux ont apporté une vision différente sur le monde: Rousseau renouvelle la réflexion politique comme la pédagogie, s’illustre dans le roman et invente l’autobiographie moderne et Mozart par les thèmes de ses opéras comme par l’éloge du bonheur qui émane de sa musique.
Synthèse
Les principaux objectifs des Lumières étaient de contribuer à un monde meilleur en proposant des idées différentes sur le peuple et sur la société et des images d'autant plus différentes lorsqu'il s'agît de la bourgeoisie, du Tiers-Etat et du clergé. La foi humaine est au centre de toute leurs réflexion et ils la défende comme étant leur centre d'intention. Rousseau et Mozart imposent une grande influence concernant leurs philosophie comme beaucoup d'autre révolutionnaires.
II) 1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ?
Les Lumières mettent en question la religion car elles annoncent rendre possible la prise en main par l’humanité de son propre destin. Les lumières attaquent l’Église, non la foi en certifiant que c'est les projets d'avenir des hommes est ce qui doit les orienter dans la vie. Elles veulent également prouver qu'on peut vivre sans lois, ni église et vivre heureux.
2) Sur quoi porte la critique religieuse ?
La critique religieuse porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : on attaque l’Église, non la foi.
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