Violence et travail dans le monde romain

Des représentations du travail comme prière pour la prospérité.

Que sait-je ? Le travail en Grèce et à Rome, C. Mossé presse universitaire de France

Il faut savoir que à Rome le travail n’avait pas la valeur morale que lui a donné le christianisme et les siècles qui ont suivi. Beaucoup d’auteur antiques on écrit leur dédain au sujet du travail manuel et prône le loisir ou les activité intellectuelle. Ce mépris pour le travail vient surtout du fait que l’on fessait faire les tâches pénibles aux esclaves donc accomplir des taches pénibles revient à faire un travail d’esclave.

Mais on le sait par le nombre de tombe représentant les labeurs, ce genre d’idée n’était pas partagé par tous, les inscription d’Herculanum et Pompéi révèlent l’existence d’une bourgeoisie municipale faite d’artisanats et de commerçant aisés 

Cependant même pour les détracteurs des activités manuelles, le travail de la terre apparaît appart. Il est considéré comme essentiel et bienfaiteur. Pour le romain la vie au champ fortifie le corps et l’âme. L’amour de la terre est une composante essentielle du patriotisme

En cherchant plus loin on remarque que ce n’est pas de travailler de ses mains en soi qui est le problème mais de mettre ces mains au profit d’un autre, qui créer un lien de dépendance qui les rend dès lors servile, travailler pour autrui en contrepartie d’un salaire est pour les romains dégradant

Il va contre l’idéal d’autarcie qui était le fondement essentiel de la liberté de l’homme antique

Le paysan et citoyen dès lors qu’il possède un bout de terre

En cas de guerre il abandonne sa maison et ses champs mais dès que la campane est finie il rentre chez lui s’occupé des moissons pour cella les campagnes ne durée guerre après les premiers jours de l’été et si c’était le cas beaucoup de désertion était à craindre. Les guerres qui se sont révélée plus longue furent un vrai fléau pour les paysans

Les dieux étaient partout dans les foret étang lac rivière… le travail de la terre était par conséquent étroitement lié à la volonté des dieux.

A ce sujet je vais donc vous présenter la mosaïque du calendrier agricole il s’agit d’un pavement de 8M sur 5 de l’atrium d’une domus des Saint-Romain-en-Gal le quartier huppé de la ville de Vienne dans le Rhône. il est constitué de quarante tableaux carré de 59cm, mais seul 27 panneaux sont parvenus jusqu’à nous. Les scènes sont orientées vers l’extérieur de la mosaïque afin de pouvoir les contempler en faisant le tour

Les scènes présentent une symétrie interne, une profondeur a peine évoquer de façon à les rendre lisibles et efficaces

Au centre se trouve 4 personnages chevauchant des animaux les 4 saisons

Le 1er cupidon sur un bœuf avec un aiguillon dans la main est des fleurs qui donnerons des fruits c’est le printemps

Enfant sur le lion évoque les moissons c’est l’été

Celui sur une panthère Bacchus l’automne raison l’automne vendange

Hiver femme emmitouflé avec chardon sur sanglier car les romains chassaient pendant l’hiver

Célébration de l’ordre des saisons des puissance bienfaisante et source de l’activité humaine

A chaque saison on retrouve les activités qui lui sont propres, et qui étaient exercée à Vienne la ville

Le vin avec le foulage, le greffage et la vendange pour l’automne

Le blé et les moissons pour l’été, et l’activité lier à l’huile d’olive qui transité par la ville, qui est stratégiquement situer sur le Rhône elle se trouve dans un carrefour commercial, durant l’hiver

Ces scènes traduisent volonté célébré l’ordre du travail agricole qui généré des richesse en respectant les saisons

La mosaïque contient aussi des scènes religieuses puisqu’indissociable des travaux des champs.

Comme la scène de sacrifie estival afin que les dieux procurent de bonnes récoltes. On peut ici voir que Rome faisait preuve de tolérance religieuse n’interdisant pas les cultes spéciaux en effet on peut Taranis en haut de la colonne dieux protecteur des moissons gaulois personnalisé par la roue

Cette mosaïque nous renseigne donc sur les sources économiques de la ville et les différentes cérémonies qui y était donné en fonction des saisons. Mais pas seulement, on sait que lorsque cette mosaïque à était réaliser la ville était sur le déclin, elle traduit donc l’espoir de son commanditaire d’un retour à un âge d’or qui serait le résultats d’un respect strict des dieux et du travail calqué sur le rythme des saisons.

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