Terminator 2
Analyse sectorielle : Terminator 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar FirreFly _99 • 20 Février 2018 • Analyse sectorielle • 1 131 Mots (5 Pages) • 704 Vues
James Cameron
(16 août 1954)
Terminator 2 : le jugement dernier
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Synopsis
Au lendemain de l'holocauste nucléaire du 29 août 1997, les survivants humains entrent en résistance contre la dictature des «machines» (des robots intelligents), ce qui les mènent à la victoire en 2029. L'ordinateur qui contrôle les machines, Skynet, avait envoyé un Terminator (un cyborg tueur). En 1984, afin d'éliminer Sarah Connor avant qu'elle n'ait mis au monde son fils, John Connor, appelé dans le futur à devenir le chef de la résistance humaine contre les machines. Ce plan n'ayant pas fonctionné, Skynet envoie de nouveau un tueur cybernétique. Cette fois-ci en 1995, quelques années avant le début de la guerre atomique de 1997, pour tenter d'éliminer directement John Connor, encore enfant à cette époque (13 ans).
Biographie
James Francis Cameron naît le 16 août 1954 à Kapuskasing (Canada). Après l'obtention de son diplôme de physique, il exerce de petits jobs comme mécanicien ou chauffeur de poids lourds. Il réalise son premier court métrage en 1978. En 1980, le producteur Roger Corman l'engage dans sa compagnie New World Pictures. James Cameron est alors principalement en charge des effets spéciaux.
En 1981, il se voit confier la réalisation de "Piranha 2, les Tueurs volants", mais il est finalement évincé du projet. En 1984, "Terminator" sort sur les écrans. Le film rapporte près de 80 millions de dollars au box-office. James Cameron tourne ensuite "Aliens, le retour" (1986) et "Abyss", qui sort sur les écrans en 1989. Il produit "Point Break"(1991) et "Strange Days" (1995). Il retrouve Arnold Schwarzenegger sur le tournage de "Terminator 2 : Le Jugement dernier". Le duo collabore à nouveau dans "True Lies" (1994), qui est le remake de la comédie de Claude Zidi, "La Totale !".
En 1997, "Titanic" sort sur les écrans : le film, qui est le plus grand succès de l'histoire du cinéma, génère plus de 1,8 milliard de dollars de recettes et est récompensé par 11 oscars (dont celui du meilleur réalisateur). James Cameron se tourne ensuite vers la télévision et réalise une série de documentaires. En 2009, il bat son propre record avec "Avatar", qui devient le nouveau film le plus cher de l'histoire et génère 2,74 milliards dollars de recettes. Le film reçoit deux Golden Globes : celui du meilleur réalisateur et celui du meilleur film dramatique.
Contexte historique
1991 : La guerre froide prend fin avec la dislocation de l’URSS (1990-1991).
Des accords sur la régulation des armes nucléaires sont signés (31 juillet, signature à Moscou du Start 1 (strategic arms reduction talks) entre l'Union soviétique et les États-Unis, prévoyant une réduction de 30 % des armements nucléaires stratégiques).
C’est aussi l’année de l’opération tempête du dessert :
- l’Irak diriger par Saddam Hussein envahit le riche état pétrolier du Koweït,
- une coalition appuyée par les Nations Unis constituée des USA, de l’Arabie Saoudite, de l’Egypte, de la France, de la Grande-Bretagne, la Syrie,
- le 26 février les irakiens se retire du Koweït,
- le 28 février George W.H Bush met fin à l’opération.
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La science fiction
La science-fiction est un genre narratif, principalement un genre littéraire et un genre cinématographique. Il est structuré par des hypothèses sur ce que pourrait être le futur ou ce qu'aurait pu être le présent voire le passé (planètes éloignées, mondes parallèles, uchronie...), en partant des connaissances actuelles (scientifiques, technologiques, ethnologiques...).
Elle a pour origine un essai intitulé A Little Earnest Book Upon A Great Old Subject de William Wilson. En janvier 1927, on trouve dans les colonnes du courrier de Amazing Stories la phrase suivante : «Remember that Jules Verne was a sort of Shakespeare in science fiction». Mais c'est en 1929, à la suite de l'éditorial d'Hugo Gernsback dans le premier numéro du Pulp magazine intitulé Science Wonder Stories, que le terme commence à s'imposer aux États-Unis, aussi bien dans les milieux professionnels que chez les lecteurs, remplaçant de facto d'autres mots sont alors utilisés dans la presse spécialisée comme « scientific romance » ou « scientifiction ».
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