TPE: le rêve
Cours : TPE: le rêve. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ariana.mobasher • 2 Mars 2017 • Cours • 2 554 Mots (11 Pages) • 714 Vues
Le rêve fonctionnement biologique :
Ce que ça veut dire :
Le rêve, du grec oniros est un besoin vital mais aussi « inutile ». Quand on se prive pendant quelques temps en utilisant des drogues ou médicament, on devient anxieux et le caractère de l’individu peut être modifié irréversiblement. Cependant, si on se prive un seul soir, on rêvera plus la nuit d’après.
A quoi ça servirait :
Le rêve semblerais servir à la reprogrammation du système nerveux central. Lorsque l’on rêve le cerveaux est plus créatif ; il invente donc des événement qui constitue notre rêve, cela créée un entretient permanent du système nerveux. De plus c’est un facteur essentiel pour l’intégration des connaissances >expérience : deus sujets ont des textes à apprendre, l’un dans la journée et l’autre juste avant de s’endormir. On remarque que le deuxième se rappelle mieux du texte que le premier.
Fonctionnement du cerveau :
Le cerveau génère de manière constante des ondes électromagnétiques ( prouvé grâce a des technique d’imageries EEG,MEG). Il a été prouvé qu’il existe un champ magnétique lors du repos ou du sommeil. La EEG (électroencéphalogramme) est une technique d’enregistrement de l’activité électrique du cerveau et sert à distinguer une activité différente du cerveau plus ou moins ralenti. On peut alors distinguer différents stades dans le sommeil.
Les phases du sommeil :
Le sommeil est constitué de deux principaux cycle : Le circadien pour l’alternance entre la veille et le sommeil. Et le ultradien pour l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal appelé « cycle de sommeil ». ce dernier dure environ 90minutes, il y en a quatre à six par nuit pour 6 à 9 heures de sommeil.
L’endormissement > Le sommeil lent :
C’est le type de sommeil le plus fréquent, il occupe les ¾ d’une nuit. Il est appelé sommeil lent ou à ondes lentes car il correspond à une activité électrique très ralentie des cellules nerveuses cérébrales. De plus pendant l’éveil les décharges électriques vont de 8/s en éveil calme (les yeux fermés) à plus de 100 décharges par secondes lorsque la personne en question réfléchie ou regarde quelque chose. Chaque cellules nerveuse va progressivement déchargés au même rythme que ces voisines. Ces ondes électriques crée beaucoup de microvolts, on dit alors qu’elle est ample. Le sommeil lent est donc divisé en deux parties :
<le sommeil lent léger :
L’activité électrique est un peu ralentie, de 3 à 7 décharges/S, elle est donc ample et peu synchronisée.
<le sommeil lent profond :
C’est le moment de la sécrétion d’hormone de croissance, qui sert soit à grandir chez l’enfant ou à reconstruire les réserves énergétiques chez l’adulte. Les ondes cérébrales sont très lentes et amples qui peuvent être recueillies sur le cuir chevelu grâce à des électrodes. L’activité électrique est extrêmement ralentie (0,5 à 2 décharges/s) et très ample. / Un éveil brutal peut provoquer un automatisme identique au comportement du somnambule ou un comportement confusionnel. Cette phase prédomine le debut de la nuit c’est la que surviennent les épisodes de somnambulisme, de somniloquie ou pipi au lit. C’est communément le sommeil qui « repose »
Chez l’adulte, le someil lent prédomine dans le premier cycle. Le reste de la nuit est composé seulement de sommeil paradoxal encadré de sommeil de plus en plus léger. Alors que durant l’enfance, le besoin de sommeil lent est considérablement plus important que chez l’adulte. C’est pourquoi les phénomènes comme l’énurésie ou le somnambulisme y sont fréquents. Mais ces anomalies disparaissent en général spontanément à l’âge adulte.
>Le sommeil paradoxal :
à l’inverse des mouvements oculaires lents et ondulants observés durant la phase d’endormissement, la PMO (phase de mouvement oculaire) ou REM est l’activité oculaire rapides survenant pendant le sommeil et enregistré par un électro-oculogramme. Pr Michel Jouvet (à Lyon) découvrit que pendant les phases REM il existait une disparition du tonus musculaire axial, associée à une activité cérébrale intense qui serait proche de l’éveil et à l’endormissement.
Le cœur bat plus vite et la température augmente. Ce sommeil se rapproche du sommeil lent profond sauf que l’esprit est activé. En effet, l’activité électrique est peu ample (5à10 décharges/S). Ce sommeil est appelé paradoxal car les régions cérébrales qui commandent le mouvement : le cortex pyramidale est actif et envoie l’ordre vers la moelle épinière de bouger, cet ordre est bloqué dans la moelle épinière par un contrordre grâce à un transmetteur : la glycine, qui paralyse les nerfs moteurs. La notion de sommeil paradoxal fait ainsi du rêve le troisième état physiologique du cerveau. Il occupe 15 à 25% du temps total du sommeil. Durant un enregistrement du sommeil, il n’est pas possible de distinguer un rêve d’un cauchemar, ni même prédire si le sujet saura se souvenir d’un rêve ou non. Car le souvenir des rêves en lui-même n’est lié qu’à l’éveil ( cette à dire pendent le rêve ou apres). Le raccourcissement du délai de ce someil est un signe de dépression nerveuse.
Notion :(La TEP est un examen d’imagerie qui permet d’obtenir des images du fonctionnement métabolique des organes, des tissus ou des cellules.)
Une EEG peut nous dire si une personne est en train de penser en éveil ou encore au sommeil. L’utilisation de l’amplitude de ce signal sera proportionnelle au degré de synchronisation de l’activité nerveuse des neurones d’une région donnée du cortex. Justement, quand un groupe de neurones est excité simultanément, leurs faibles signaux s’additionnent et deviennent donc perceptibles pour les électrodes à la surface du crâne. A l’opposé, les stimulations que reçoivent les dendrites d’un groupe de neurones ne sont pas synchronisées, le tracé de l’EEG correspond donc à la sommation des signaux est faible et irrégulier.
L’activité des neurones est relativement élevée et peu synchroniser lorsque qu’il y a une stimulation sensorielle. Chaque petit groupe de neurones étant activé par des aspects différents de la tâche cognitive à résoudre, la synchronisation est donc faible
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