Rhinocéros, Ionesco

En premier lieu, le monstre dans la tête d'Ionesco est représenté dans l'œuvre par les rhinocéros.  La façon que ce dernier est décrite par l'auteur est très perturbateur autant pour les habitants de la ville que pour la ville en tant que telle.  Il utilise un champs lexicaux négatif pour décrire un monstre comme dangereux (p.25) quadrupède stupide (p.28)un très gros animal, vilain!(p.65) Les descriptions donné par les personnages nous montrent que ce dernier n'est pas un être positif dans leurs têtes. Aussi, les rhinocéros ont un comportement destructeur dans les villes. Dans une des didascalies, lorsqu'un troupeau de rhinocéros est dans ville, on remarque une grande destruction de leur part tout comme un monstre<>(p.140). De plus, le rhinocéros est un parallèle du comportement des gens, ou plutôt d'une idéologie, soit le fascisme que Ionesco a été forcé à en faire partie lors de sa jeunesse en Romaine.  Le monstre n'est pas la personne qui est devenu rhinocéros, mais au contraire le monstre est la pensée qu'ils on  été influencé à adopter. Cette pensé leur a fait perdre leur humanisme, ceci est prouvé lors de la transformation a Jean:<>(p.115) Le point d'exclamation à la fin de cette phrase met l'emphase sur  la force de cette idéologie grandement contagieuse. Bref, le monstre dans cette œuvre est très dangereux est envahissant, le monstre contamine les résidants de la ville avec cette idéologie pour créer de plus en plus de monstres.

En deuxième lieu, Bérenger ce voit comme un monstre lui même pour avoir resté humain, le seul humain restant dans la ville. Lors de son dernier monologue il vit beaucoup de difficulté a décider ce qu'ils veux être. Cette indessivité montre le pouvoir de cette idéologie montreuse.

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