La douleur transcendée par les artistes

La douleur transcendée par les artistes

Sommaire du cours

I. L’auteur        

II. Thèses et intentions        

II.A. Résumé        

1. La douleur physique        

2. La douleur des enfants        

3. L’art une thérapie de la douleur        

4. Empathie        

II.B. Thèses abordées        

1. La douleur, quelle prise en charge ?        

2. La médecine, science ou art ?        

III. sources        

Le présent support de cours fourni par le Tutorat Santé Lyon Sud est destiné à faciliter votre prise de notes mais ne constitue en aucun cas une référence pour le concours. Seuls les cours ayant été dispensés par les enseignants et les supports mis à disposition par leurs soins sont légitimes. Veuillez prendre note que seul les polycopiés directement téléchargés depuis Spiral Connect sont certifiés en provenance du tutorat, toute autre source est potentiellement compromise.

1.  L’auteur

Patrice Queneau, médecin et ancien doyen de la faculté de médecine de St Etienne. Il est membre de l’académie nationale de médecine.

Il s’applique dans sa pratique de la médecine à une meilleure prise en charge de la douleur par une meilleure compréhension de celle-ci.

1. Thèses et intentions

1. Résumé

Dans cet ouvrage, regroupant par thème (la douleur physique, la douleur des enfants…) de nombreuses œuvres d’art, on peut y voir la représentation de la douleur et de la souffrance selon les peintres et artistes.

L’art permet au patient d’exprimer sa souffrance, et peut être d’y voir un apaisement à ces maux. Pour le médecin, cet ouvrage nous indique en parie la conduite à tenir et le comportement à avoir face à un patient souffrant.

1. La douleur physique 

Un chapitre entier est consacré à ce thème. Il s’agit de comprendre comment la douleur physique peut être représentée. Il est important d’être attentif aux expressions du visage et à la gestuelle, le patient se tord de douleur, se tient la zone douloureuse, a le visage est défiguré.

1. La douleur des enfants

Ayant longtemps pensé que le corps d’un enfant ne pouvait connaitre la douleur, elle a longtemps été inconnue aux yeux de la médecine. Cela fut une grave erreur. L’enfant est en effet capable de souffrir, et il est, en plus de cela, parfois incapable d’exprimer une plainte précise. Il est du rôle du personnel médical de passer du temps avec ces jeunes personnes, d’être à leur écoute, afin de  pouvoir les soulager. Cette écoute peut être accompagnée d’une analyse de dessin, où l’enfant exprime sa douleur de diverses façons, par de nombreuses allégories et images : il est enfermé dans une cage, roué de coups de marteau, ou encore taché de sang.

1. L’art une thérapie de la douleur

L’art est avant tout un moyen d’expression. Il permet à la personne souffrante d’extérioriser la douleur.  Il est aussi à noter dans ce chapitre, que la création d’une œuvre peut permettre de diminuer les souffrances, mais pour certaines personnes, la douleur semble réagir à certaines couleurs en particulier : les couleurs chaudes seraient plutôt signe de bonheur, et permettrait de réduire la souffrance, alors que les couleurs froides ont un rôle contraire et accentueraient les maux.

1. Empathie

L’attitude du médecin joue un rôle important sur la douleur du patient. Le fait d’avoir une douleur reconnue permet au patient de se sentir compris. Le patient ne devrait pas avoir à prouver qu’il souffre car le mal de ne pas être cru accentue le mal réel.

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