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La digestion de la connaissance.

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Par   •  31 Mars 2016  •  Discours  •  903 Mots (4 Pages)  •  767 Vues

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LE LIVRE

IVREL VRELI RELIV ELIVR

NB : désolé pour les fautes d’orthographe.

(Imaginer que ce texte est écrit sur un livre en spirale, avec une page infinie. Une grande boucle qui a l’air de ne pas en finir, une ligne jusqu’au bout.)

   Ce texte parle de l’objet, son support, la spirale. Il faut lire et selon certains déchiffrer toute espèce de notation. Un pas dans la bouche, une odeur humide et chute radicale. Atterrissage dans le fluide digestif. Ma lecture se comporte comme moi, c’est la restitution d’un reflet de ma digestion. Départ en cadence, simulation en cours dans la lourdeur du palpable. C’est une question d’appréhension à la compréhension. D’ouverture à l’électricité de la vision émergente. Comment vous expliquer ces liaisons du monde fantastique ? Vous parler des miennes me semblait être la solution pour parler des autres mais ici encore la digestion nécessite plusieurs étapes. L’objet détermine le sens et ce support finira lorsque la réflexion même en décidera par son aboutissement. En supposant qu’elle est propre à elle-même, c’est amusant de déchiffrer son comportement. On subit l’action tout en pensant qu’on la contrôle. Alors qu’en fait cette faculté qu’a la volonté de se déterminer n’est pas un choix. Dans cette course à la grandeur, l’élévation morale est en fait plutôt digestive. Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, pas de gâchis. Vous sentez vos paupières glisser mais ce n’est que le début. Ecrire ces lignes est presque aussi difficile que de les lire. En angle droit, s’aiguisant pensée après pensée, le crayon lourd, ressent certainement lui aussi la pression. Il oblige le lecteur à passer par un point de fixation particulier, modifiant les processus normaux de lecture. L’inattendu est une recherche particulière à effectuer et croire à la modélisation d’une perception est excitant. Essayer d’établir un modèle «tyrolienne» entre l’immatériel et le physique. Détourner la pulsion électrique qui guide l’idée interceptant l’effet si celui-ci existe. C’est plus difficile de revenir en arrière. Une fois l’action lancée ça devient machinal, mécanique, automatique. Mais on ne ressent pas la faim dans ce schéma-là, aucune vraie dépendance ne se perçoit. La faculté de définir librement ses actes en fonction de motifs rationnels existe bien pour ca. Dans cette modélisation le principe initial est la curiosité. C’est le facteur premier à toute initiation essoufflante. La persévérance est quant à elle, fil conducteur du désir. Quand on veut, on peut. Du moins on peut essayer. Ces tentatives sont fondatrices de notre actualité. Participer, subir, vivre, en tant que spectateur ou initiateur sont ces formes de tyroliennes communes. Il y a des allergiques, des carnivores, des végétariens. Tous ont le même système digestif mais certains vomissent, d’autres ne mangent pas et d’autres mangent trop. A quoi s’en tenir ? On tâte, on bute sur chaque marche de Penrose, sans renverser l’endroit de l’envers. L’inclinaison oscille sans jamais changer de sens. Mais dans cette illusion il y a une fin, il en faut une. On doit se reposer l’esprit pour comprendre quand il travaille. C’est ce sentiment irraisonné, non vérifiable qui guide le flux d’engraissement. D ‘un côté plus on comprend, plus on s’éloigne d’une certaine vérité. De l’autre nous ne nous suffisons pas à nous-mêmes. Dans cette quête de vie nous domestiquons les solutions. La curiosité ne devrait pas être définie. Il y a le oui et le non. Un peu comme cette démarche. L’intérêt est de tendre le bras et de pointer l’horizon du doigt. Debout sur un marche pied, activé par un moteur rotatif, de manière à ce que le corps  élevé, circule. Tour après tour, après tour, après tour, jusqu’à évaluer la pertinence de la motivation. Effleurer et réactiver la sueur de cette aptitude de compétition à tirer le meilleur parti de ses possibilités. Le mental, il faut du mental. Ne pas douter ni être certain c’est-à-dire avancer sans bouger, et parfois faire des constatations empiriques un usage commun. Admirer la balade sans réconfort certain. Ces mots peuvent eux aussi émettre une fréquence différente. Les capteurs sensoriels auditifs des humains semblent parfois pouvoir être contrôlés. On se bouche les oreilles mais comme on entend encore, on couvre le silence par la voix pour en avoir…Contradiction sur contradiction équivaut peut être à un accord ou encore à une contradiction. La valeur nutritionnelle des mots doit se choisir, il faut penser au bien-être et au regroupement des données pour former un ensemble fonctionnel. Même si l’inverse intégral tient debout, les carences n’aident pas à grandir. Mais savoir ce qu’il faut pour nous nécessite une analyse qui identifie la teneur de la substance à imprégner. Il faut étudier minutieusement et précisément pour dégager les éléments qui constituent un ensemble. Déceler l’autonomie des parties pour en apprécier mieux la congruence ou la finalité ou simplement pour rendre accessible chacun de ses éléments. C’est assez compliqué et expliquer quelque chose de compliqué est compliqué…J’aimerais continuer et prendre cette position de chercheur plus au sérieux mais entre l’importance que j’y attache et l’action conforme attendue comment faire ? Cet essai est une observation pouvant être distingué de façon méthodique. C’est la continuité d’une courbe qui enfonce peu à peu la pensée à surgir. S’enfoncer pour arriver à une stabilité plane et expansive. La fin de la ligne, l’endroit ou l’esprit de conciliation dirige. Le court instant de suspension mêlant passé et futur qui dans la seconde de réflexion souvent s’enfuie. C’est un long travail qu’est l’introspection. Fermons les yeux.

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