Histoire des arts: Le mur de Berlin

Le mur de Berlin, également appelé le mur de la honte pour les Allemands de l’ouest et le mur de la protection antifasciste pour les Allemands de l’est a été construit la nuit du 12 au 13 août 1961 par la république démocratique Allemande (RDA), qui mit fin à l’exode de ses habitants vers la république fédérale d’Allemagne (RFA).

Ce mur sépare la ville en Berlin-Est et en Berlin-Ouest pendant plus de 28 ans appelé aussi «rideau de fer».

Cette barrière de séparation était composé de: deux murs de 3,6 mètres de haut, avec un chemin de ronde, 302 miradors, 14000 gardes armés, 600 chiens et du barbelé le long du mur.

Il n’y avait aucune possibilité de franchir cette séparation, ce qui fût le désespoir de nombreuses familles, d’amis...

Le 9 novembre 1989, le mur fût détruit, on parle alors de la réunification Allemande.

Presque totalement détruit, le mur laisse une cicatrice, le symbole de la guerre froide, plusieurs mussés, films, livres lui sont consacrés.

L’East side gallery :

L’East side gallery est un restant du mur de 1,3 km de long.

Plus d’une centaine d’artistes sont venus du monde entier pour le transformer à leur images..

Par exemple, Brigitte Kinder en 1991 avec sa peinture au départ intitulé «test the west» reprise d’un slogan publicitaire pour une marque de cigarettes ; l’oeuvre s’est finalement nommé «test the rest», comme pour symboliser un épisode terminé de l’histoire.

Elle est rénové en 2009 pour l’anniversaire des 20 ans de la chute du mur.

Elle est rénové au pinceaux et avec des bombes, qui était au départ faite seulement d’acryliques.

Ses dimensions : 5m de long sur 2,50 m de hauteur.

Ce tableau représente une voiture Trabant 601 qui détruit le mur qui vole en éclatset crée une brèche qui continue à se fissurer et par contre, de manière étonnante, la voiture n’a aucune rayure et ne connaît aucune dégradation malgré la violence du choc.

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