Etude de la nouvelle : "Les vieux" d'Alphonse Daudet
Résumé : Etude de la nouvelle : "Les vieux" d'Alphonse Daudet. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ratislava • 8 Novembre 2021 • Résumé • 717 Mots (3 Pages) • 1 994 Vues
Les lettres de mon moulin :
présentation :
La nouvelle que je présente s’appelle « les vieux », elle est écrite en 1869 par Alphonse Daudet et appartient à son recueil de nouvelles « les lettres de mon moulin.
Résumé :
L’histoire se passe à Paris, quand père Azan reçoit une lettre de ses grands-parents. Suite à cette lettre le père Azan souhaite aller les voir mais il ne peut y aller à cause de son travail. Il demande donc à son ami (le narrateur) d’y aller à sa place. Cet ami accepte la requête du père Azan puis écoute attentivement les instructions que lui donne le père Azan qui vont l’aider à savoir ou aller et savoir que faire lorsqu’il rencontrera les grands- parents. Le lendemain l’ami partit jusqu’a Eyguière pour rendre visite aux grands-parents. Il arrive à Eyguière après 2 heures de routes et cherche le couvent ou séjourne les grands-parents. Il ne le trouve pas et c’est une fée qui lui dévoile ou il est.
Il fit la rencontre des grands-parents qui furent ravi de recevoir la visite d’un ami de leur petit-fils.
Il passa la journée là-bas à écouter les anecdotes des grands-parents et à leur raconter comment se porte leur petit-fils. La nuit tomba et l’ami rentra à Paris.
Explication :
J’ai choisi cette nouvelle car elle aborde plusieurs thème qui m’ont fait réfléchir.
Chaque personnage aborde un de ces thèmes, par exemple :
je trouve que le père Azan est un peu égoiste car il ne prend même pas le temps d’aller voir ses grands-parents ou de leur écrire, il demande à un ami qui est étranger aux yeux de ses grands-parents d’y aller à sa place.
Le narrateur donc l’ami est très gentil et altruiste. Pour son ami il accepte de faire des choses qui peuvent être déplaisante pour lui. Et pus une fois avec les grands-parents il prend le temps de les écouter et de passer la journée avec eux.
Avec les grands-parents ont se rends compte que parfois un rien peut faire plaisir. Un étranger leur a rendu visite pour parler de leur petit-fils et il était heureux, à aucun moment ils ont été déçu de ne pas avoir eu la visite de leur petit-fils ou même une lettre de ça part.
Extrait :
Au bout du couloir, sur la gauche, par une porte entr’ouverte on entendait le tic tac d’une grosse horloge et une voix d’enfant, mais d’enfant à l’école, qui lisait en s’arrêtant à chaque syllabe : A… lors… saint… I… ré… née… s’é… cria… a… Je… suis… le… fro… ment… du… Seigneur… Il… faut… que… je… sois… mou… lu… par… la… dent… de… ces… a… ni… maux… Je m’approchai doucement de cette porte et je regardai.
Dans le calme et le demi-jour d’une petite chambre, un bon vieux à pommettes roses, ridé jusqu’au bout des doigts, dormait au fond d’un fauteuil, la bouche ouverte, les mains sur ses genoux. À ses pieds, une fillette habillée de bleu, — grande pèlerine et petit béguin, le costume des orphelines, — lisait la Vie de saint Irénée dans un livre plus gros qu’elle… Cette lecture miraculeuse avait opéré sur toute la maison. Le
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