Du corps à la machine, l'homme est il encore l'artiste ?

Du corp à la machine, l'homme est il encore l'artiste ?

L'évolution en général dans notre société est quelques choses de normal de nos jours. De nombreuses innovations techniques ont eu lieux durant toutes ses années et le domaine des arts plastiques n'y a pas échappé. Depuis quelques années, certains artistes tel que Tinguely, innovent n'utilisant plus leur propre corps pour réalisé, mais en utilisant des outils le remplaçant tel que des machines a dessiner pour Tinguely, des logiciels informatiques, ou bien encore des imprimantes 3D et bien plus encore. Cependant avec tout cela, nous pouvons nous questionner sur une chose. Est ce que l'Homme est encore l'artiste ? Ou bien est ce finalement la machine ? Pour répondre a cela, nous analyserons donc plusieurs œuvres pour pouvoir y répondre.

La première œuvre que nous analyserons est une installation faite au Watermans Art Center à Brent, se nommant « Human study #5 » du créateur Patrick Tresset. Cette réalisation a était réalisé en 2017. Cette installation mets en scène des bras robotisés chacun capable d'analyser leur environnement a l'aide d'ancienne webcam, ou de caméra lowres. Les robots sont disposés sur une grande table, rappelant celle des ateliers d'arts. Les robots sont capable de bouger et d'utiliser un crayon leur permettant aussi de réaliser de nombreux dessin faisant donc de nombreuse et longue série. La mises en scène est aussi important, car elle mets en scène ces robots a la manière d'artiste travaillant, comme nous le fait penser la grande table qui est utilisée en tant que support. Cela pourrait nous faire penser a des véritables artistes travaillant, donc a un procédé d’anthropomorphisme. Ses derniers sont capable uniquement de dessiner les dessins une fois terminé sont accroché aux murs et une nouvelle feuille est réinstallé pour qu'il puisse continuer. Cette installation pourrait faire penser a une performance de la part d'un artiste, l'installation ayant des ressemblances avec les humains, le bras et le sens de la vue, pourrait faire penser a une performance.

La seconde œuvre que nous analyserons est la « méta-matic » numéro 14. Cette création a était réalisé par Jean Tinguely et date de 1959. La machine a dessiner est une sculpture portative, elle est faites de métal et de bois, on y trouve des fils métalliques, des courroies en caoutchouc et cette dernière est peinte en noir. La machine permet de réaliser des dessins sans utiliser son corps comme l'installation de Patrick Tresset. Seulement cette fois ci, les dessins sont réalisé de manière aléatoire et son environnement n'influe pas sur les dessins. D’ailleurs le style est totalement différent, ses derniers ne représente pas quelque chose de précis, il ressemble d'avantage a des gribouillages. L'on pourrait voir dans les méta matics en général, un certain désordre un certain chaos si l'on va plus loin, dans le style ou elle font leur dessin. Le mouvement de son bras sont hasardeux et imprécis, elle ne sert pas a réalisé des dessins clair mais plutôt abstrait. La machine lorsqu'elle est utilisée, réalise une performance comme « Human study #5 ». Tinguely utilise aussi un procédé d’anthropomorphisme. La conception de la machine, celle ci est abstraite bien qu'elle utilise des formes géométrique tel que les cercles ou bien les rectangles.

Dans le cas des deux œuvres, la machine est celle réalisant les dessins. Cependant, est ce que  Patrick Tresset, et Jean Tinguely sont les artistes de ces séries ? Certes les machines ont été créées par ces deux personnes, seulement se sont elle qui ont réalisé les dessins. Donc la conception du style, la réalisation de ses dessins, le mérite reviendrais naturellement aux machines si l'on part du principe que l'artiste est celui qui fait la réalisation de ses idées. seulement si l'on part du principe que l'idée de base prime au dessus de la conception, peut importe la machine utilisé, le mérite reviendrais donc a Patrick Tresset et Jean Tinguely et leur machines ne seraient donc que des outils a la réalisation de leurs idées. Mais malgré cela, nous ne pouvons niés la ressemblance dans les mouvements des deux machines, une ressemblance avec ceux que le corps humain peut exercer. L'on pourrait donc penser que cette ressemblance est faites pour que ses machines puisse poser la question du corps et de la machine dans les arts plastiques. Les machines sont de plus en plus perfectionner et semble ressembler d'avantage a un humain dans leur capacité a réalisé des mouvements circulaires, hasardeux ou bien précis.

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