Ousmane Sembène « La Noire de... »

Le film d'après une nouvelle de Ousmane Sembène « La Noire de... » raconte l'histoire d'une femme noire Diouana, jeune femme qui rêve d'une autre monde, de libérté. Elle veut devenir une femme indépendente. Sa patronne l'a emmenée en France où on voit les différence entre deux monde, entre des Français riches et des Noirs pauvres qui viennent en France pour y chercher une vie meilleure et l'amélioration économique. Finalement, par le le néocolonialisme et le racisme décomplexé, ils ne sont que les esclaves. L'arrogance de Madame et Monsieur et l'humiliation vers la femme sénégalaise, elle est chez eux comme dans une cage, traitée par les blancs comme objet (p.ex. pendant une soirée avec les amis, on voit qu´un fraçais regarde la jeune femme noire comme l'objet sexuel), on compare les noirs avec les animaux, les noirs sont inférieures. Au jour le jour, elle travaille sans cesse, sans argent, mais tout le temps en obtenant une critique. Elle mene une vie de désespoir muet et au bout excédé de travail et de fatigue, elle n'a pas d'autre solution que se tuer. Le film nous donne une vision pesimiste et une vision de frustrations d'homme noir. C'est une critique sociale. Ousmane Sembène met l'usage des symboles. L'un d'eux est la masque qu'on peut voir au cours du film et à la fin, le petit garçon noir poursuit le français avec la masque de sa mère. Je vois cette masque-là comme l'esprit de Diouana, on peut dire l´esprit africaine de noirs qu´ils ont été victimes d´esclavage.

Hélas, ce n'est pas une problème d'avant parce qu'au 21ème siècle, l'esclavage domestique existe en France. Ces victimes viennent en général d'Afrique pour trouver en France une vie meilleure. (comme Diouana a veut faire avant). L'esclavage moderne touche des femmes et des enfants non seulement dans le monde riche et les beaux quarties mais ce drame est aussi présent dans les banlieues et lieux moins favorisés. Les jeunes filles trouvent leur patronne et rapidement deviennent des esclaves en travaillant 15, 16 heures par jour, sans argent, en manque de sommeil, sans libérté, sans aucun pouvoir parce que dans beaucoup de cas, les patronnes les quittent ses papiers d'ídentité. Ces victimes sont isolées, ne peuvent pas sortir, ne peuvent pas prendre congé ni l'aide social. Ce sont les gens qui trouvent les violences verbales et physiques, certaines sont victimes d'agressions sexuelles. Mauvais traitement, l'humiliation et les conditions de vie vulnérables causent des dommages moraux et perte de confiance en soi-même. Certaines s'eunfuient... Je crois qu´aujourd´hui les formes d´esclavage sont plus dure. C´est une barbarie...
L'histoire de Tina: une Nigérianne qui a été emennée en France, une fille de 13 ans qui doit s'occupe des enfants et de la maison. Elle travaille sans cesse, sans repos, mal nourrie, et épuisée. Tina comme beaucoup de femmes est une victime d'esclavage et dans son cas de l'agression sexuelle de la part de son patrone. Autre temoinage d'Olivia, une jeune fille qui a quitté Togo pour venir en France et pour garder des enfants. Les patrons lui ont promis en échange d'un hébergement, d'une éducation et d'argant. En réalité, elle travaille sans cesse chez eux, trois jours sans manger en voyant les autres manger, elle n'a pas le droit d'eau, même l'eau du robinet... Il ya une caméra qui le suit. ¨Si tu va avoir un truc de manger ou boire, je te tue¨ lui disait la patronne. Olivia subit de multiples sévices physiques. Et le colère noire de la part de sa patronne qui l´a brûlé les mains avec la plaque électrique.¨Et le piment antillais que la plupart des Africains connaissaient bien, la patronne l´a chauffé au micro-ondes, elle l´a écrassé et je l´ai dû l´introduire dans mon vagin, moi même¨ se souvient Olivia et les larmes coulaient sur ses joues...
Ces témoinages tristes et beaucoup plus, tous les cauchemars d'esclavage nous montre le calvaire qui souffrent les africains qui viennent en France pour la vie meilleur mais en réalité, c´est le début de la fin pour eux...

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