L'avare de Molière
Dissertation : L'avare de Molière. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar heavynleigh • 7 Avril 2018 • Dissertation • 1 342 Mots (6 Pages) • 962 Vues
Département d’études françaises et de traduction
Université Laurentienne
Dissertation littéraire
L’Avare de Molière
Par
Heavyn-Leigh White
# 0343154
Travail présenté à
La professeure Johanne Melançon
Dans le cadre du cours
LITT 1416 FL 01 - Initiation à la littérature
Sudbury
Le 4 décembre 2017
Dans la comédie L’Avare de Molière, le personnage principale, Harpagon, se retrouve avec plusieurs plans pour lui-même et sa famille. Par contre, ses plans ne se sont pas déroulés comme prévu. Dans L’Avare, tous les projets d’Harpagon échouent. Il avait l’intention de s’enrichir par le commerce du mariage, et il avait destiné sa fille Élise au seigneur Anselme, et son fils Cléante à une veuve.
En premier lieu, Harpagon avait l’intention de s’enrichir par le commerce du mariage. Il voulait s’épouser à une jeune fille nommé Mariane, qui lui apportera une somme d’argent après le mariage, comme il dit « Je suis résolu de l’épouser, pourvu que j’y trouve quelque bien. » (Acte 1, scène 4). De plus, elle ne lui coutera pas très chère pour y prendre soin, à cause qu’elle est « une fille accoutumée à vivre de salade, […] et à laquelle par conséquent il ne faudra ni table bien servie, […] ni les autres délicatesses qu'il faudrait pour une autre femme. » (Acte 2, scène 5) Pourtant, Mariane ne lui épouse pas, laissant Harpagon seul, et sans une dot venant du mariage. « HARPAGON : Car encore n'épouse-t-on point une fille, sans qu'elle apporte quelque chose. FROSINE : Comment ? c'est une fille qui vous apportera douze mille livres de rente. HARPAGON : Douze mille livres de rente! » (Acte 2, scène 5). D’ailleurs, pour augmenter son profit, Harpagon avait destiné son fils Cléante à une veuve. « Quant à̀ ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m'est venu parler. » (Acte 1, scène 4), espérant que quand son fils l’épouserait, il obtiendrait son argent. Mais à cause que Cléante n’avait pas poursuivi la veuve, Harpagon n’avait pas reçu sa dot. Enfin, Harpagon n’avait pas acquiert aucune somme d’argent de ses mariages proposés.
En conclusion, Harpagon avait échoué à tous ses projets dans L’Avare. Il voulait augmenter ses richesses avec les commerces des mariages qu’il avait planifié, cependant, Mariane ne s’est pas épouser à Harpagon, et Cléante n’avait pas mariés la veuve, laissant Harpagon aussi riche qu’il se trouvait avant. Notamment, il avait planifié les mariages de ses enfants, Élise au seigneur Anselme, et Cléante à la veuve, pourtant ses enfants ont trouvés leurs chemins vers leurs véritables aimants, Élise à Valère, et Cléante à Mariane, laissant derrière eux, les choix d’époux de leurs pères. Bref, vu que chaque situation ne s’est pas produisent comme les plans d’Harpagon, il n’arrive pas à obtenir les résultats qu’il voulait de ses projets, signifiant qu’il les avait tous échoué.
Question : Dans L’Avare, tous les projets d’Harpagon échouent. Démontrez.
Introduction :
Sujet amené :
Dans L’Avare, le personnage d’Harpagon a plusieurs plans pour lui-même et sa famille. Par contre, ses plans ne sont pas déroulés comme prévu.
Sujet posé :
Dans L’Avare, tous les projets d’Harpagon échouent.
Sujet divisé :
Harpagon avait échoué à ces projets :
- Harpagon avait l’intention de s’enrichir par le commerce du mariage.
- Il avait destiné sa fille Élise au seigneur Anselme, et son fils Cléante à une veuve.
Développement :
- En premier lieu, Harpagon avait l’intention de s’enrichir par le commerce du mariage.
- Il voulait s’épouser à une jeune fille, Mariane, qui lui apportera une somme d’argent après le mariage, et ne lui coutera pas très chère pour prendre soin d’elle. Enfin, Mariane ne lui marrie pas, laissant Harpagon seul, et sans une dot venant du mariage.
- « Je suis résolu de l'épouser, pourvu que j'y trouve quelque bien. » (Acte 1, scène 4)
- « HARPAGON : Car encore n'épouse-t-on point une fille, sans qu'elle apporte quelque chose.
FROSINE : Comment ? c'est une fille qui vous apportera douze mille livres de rente.
HARPAGON : Douze mille livres de rente! » (Acte 2, scène 5)
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