L'art, l’Esthétique et le beau

L'art, l’Esthétique et le beau suscitent encre de nos jours des débats contradictoires concernant les philosophes, les historiens, etc et portent souvent sur deux aspects essentiels dans l'apparence de la définition. Il s'agit de la subjectivité et de l'objectivité. Les variétés du domaine artistique et esthétique les rendent universels. Le Beau est un jugement de gout, une affirmation de la sensibilité de celui qui regarde, ou une réflexion intellectuelle et culturelle à propos d'une œuvre précise. L'art et l’Esthétique, par la théorie du beau, sont une forme d'humanisme, qui élève celui qui la pratique; L'art est on objectif culturel. Souvent on réagit très rapidement par rapport à l’œuvre, pour certain c'est trop réaliste, trop abstrait, pas assez, etc. Enfaite il s'agit de passer outre de la figuration strict pour comprendre l’œuvre. Il faut en pratiquer une analyse subjective, se débarrasser dans sa manière habituelle de regarder pour pénétrer dans l'univers de l’œuvre. On peut alors interpréter l’œuvre avec une objectivité subjective ou objective. L'art ne s'explique pas, il se vit: la subjectivité (regard), l'analyse subjective (analyse), l'objectivité (critique). Il n'empêche que la préhistoire de l'esthétique pèse lourd. Elle remonte à Platon. Ce par quoi un étant diffère d'un autre étant, son visage ou sa physionomie, Platon le tient comme source d'une distinction entre limitant et le limité. Ce qui se montre avec le plus d'apparence, ce à propos de quoi s'aiguise le mieux l’hylé morphisme ou l’opposition matière-forme, Platon l'appelle le Beau.

...