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Le Commentaire D'un Film OrANGELove

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Par   •  22 Janvier 2015  •  1 398 Mots (6 Pages)  •  845 Vues

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«orANGELove» est un film mélodrame en couleur ukrainien de Alan Badoyev réalisé en 2007 avec comme acteurs principaux Alekseї Tchadov et Olga Makeeva.

Roman est un photographe, Katya est une violoncelliste. Il est capable de voir ce qui est caché, elle est capable d'entendre ce qui n’est pas accessible à tous. Il lui apprend à regarder, elle lui apprend à écouter. Quand il se sent mal - il pleure, quand elle se sent mal - elle ferme les yeux. Elle est consciente de son diagnostic en regardant la lumière, il prend une décision dans l'obscurité. Ils parlent des langues differentes. Mais il se comprennent et sont ensemble.

La couple est enfermée dans un appartement étrange dans le centre de Kiev. Selon les termes de certain jeu mystérieux ils ne devraient pas quitter l'appartement avant la mort de son propriétaire qui est déjà dans un fauteuil roulant. Le prix: cet appartement et environ 200 milliers d'euros. Mais l’amour d’automne une fois est en un tournemain remplacé par l'idée de sida. Celui qui dicte des règles va d’en mourir. En dehors de la fenêtre a lieu la révolution et Roman ne peut pas sortir de l'appartement et de voir à travers l’objectif de ce qui se passe. Le seul lien avec le monde extérieur - des lettres. On les jette sous la porte. Dans l'un d'eux sont les résultats des analyses que les deux heros principaux ont passé au début de la bande. En ouvrant l'enveloppe le romantisme s’évapore instantanément. Ils sont laissés seuls avec le problème dans un espace confiné.

À quel moment l'amour devient le sentiment qu’on peut commencer à faire des sacrifices pour lui? Et est-ce que ce sont les sacrifices en fait? Katya ayant appris la nouvelle pousse Roman et il tente de prouver qu'il veut être avec elle dans n’importe quelles circonstances. Tandis que là, il n’a pas juste essayer, il fait que le virus apparaît dans son sang. «Nous sommes du même sang" – dit il à elle après. Pour quelques heures encore ils sont heureux. Mais c’est seulement pour les dernières heures.

Ils sont emportés par la recherche de l’issue de la situation qui en fait n’a pas encore existé. Ce sont eux qui l'a inventé. Ils ont cru tous les deux le pire. Le problème ne se produit pas lorsque les pires craintes deviennent réalité, mais quand il semble que nous n’avons ni le temps ni la patience d'attendre pour la nouvelle que la lettre précédente a été fausse.

Elle avait disparu. Elle a agi pas comme une vraie femme et en même temps totalement comme une vraie femme. Il s’est battu pour elle, pour eux jusqu'à la fin, elle n’a pu pas: est-ce que c’est de l'amour, de l'aversion, du vide de l'âme – on ne sait pas.

Dès premières images du film on aperçoit le jeu magnifique d’acteurs qui jette un charme sur nous du premier coup. La rôle lourde d’Aleksei Tchadov est joué assez digniment comme pour acteur qui a eu seulement 23 ans quand le film a été produit. Grâce à son jeu on pourrait d’abord penser que c’est pas le cinéma mais une vraie histoire de la vie. Des régards et cris perçants, des gestes excessivement expressifs, des sentiments et l’abnegation dévoilent l’homme qui en premier lieu semble être independant à vie. Mais enfin nous le trouvons un amoureux désespéré à cause d’avoir appris une nouvelle horrible – l’infection de sa copine par le sida. Tout cela choquent le spectateur effectivement par l’intensité et la vraisemblance de la joie menée.

Mais le plus nous sommes saisis d'admiration par le personnage de Katya. La jeune Olga Makeeva joue un personnage qui si on le juge superficiellement est passif. Du prémier coup Katya apparaît comme une jeune fille faible et impressionnable, avec le visage tranquil et qui n’exprime pas des émotions. Bref – comme une fille qui ne semble être du caractère ferme du tout. Mais au fur et à mesure qu’on l’envisage derrière cette faiblesse apparente on démasque une personnalité extraordinairement forte qui d’avoir appris l’impossibilité de sa vie ultérieure se trouve fort vaillante toutefois. C’est elle qui ensuite se souvient qu’il faut manger quelque chose, c’est elle, qui commence parler, qui joue de nouveau sur violoncelle et boit le café.

Le rhytme

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