Culture générale et expression

Culture générale et expression                                          Kellian SOMPAYRAC NRC1

« Ces objets qui nous envahissent »

1. La notion de confort.

On constate que la notion du confort est présent dans l’essai de Gilles LIPOVETSKY sur la société d’hyperconsommation ainsi que dans le film « mon oncle » réalisé par Jacques Tati en 1958.

En effet, dans l’essai, on nous explique que « Le mobilier concrétise également la nouvelle culture du confort plus centrée sur les résonances sensitives que sur l’étalage des signes riches »

Cela veut donc dire qu’en théorie, les évolutions modernes penchent plus sur l’ergonomie des objets que sur leurs esthétiques.

Mais, dans le film de Jacques Tati, c’est l’inverse.

En effet, dans la Villa Arpel, le mobilier est très moderne est esthétique mais tout sauf confortable Par exemple, ils possèdent un fauteuil à bascule très esthétique est relativement « luxueux »mais très inconfortable et dont le bruit strident est irritant. Il ne favorise donc pas les résonances sensitives. Au contraire.

Or, si l’on suit l’essai de M.LIPOVETSKY, les objets modernes sont prévus pour être le plus confortable au dépit de l’étalage de richesse. Pourtant, le film contredit cette idée.

Les deux « œuvres » sont donc en contradiction.

1. La notion de bien être.

La notion du bien-être est en effet présente dans les 2 documents qui composent le corpus.

Effectivement, dans l’Essai de Gilles LIPOVETSKY sur la société d’hyperconsommation, on relève la phrase suivante « […] Celui de la seconde modernité se veut amical, féminin, non agressif, en réponse au besoin de mieux-être et d’environnement rassurant».

Donc, les objets modernes sont supposés être signe de zen-attitude, d’apaisement.

Cependant, dans le film de Jacques Tati « Mon oncle » les objets ont en fait l’utilité inverse.

Par exemple, dans la villa Arpel, il y a une fontaine en forme de poisson. En général, les fontaines sont supposer créer une atmosphère chaleureuse, être apaisante.

Or, dans ce film, la fontaine est une pollution visuelle et sonore qui rend l’atmosphère très lourde. Il y a également le jardin, signe de bien-être depuis toujours (c’est d’ailleurs pourquoi on parle de jardin zen au Japon). Ici, le jardin prive toute liberté, puisque que nous pouvons nous déplacer uniquement sur les dalles qui ont était parsemé au sol.

C’est également une source de stress pour Mme Arpel.

Les deux documents sont donc en opposition, puis-ce que L’essai nous indiques que les « objets » modernes favorise le bien-être intérieur et extérieur, mais le film Mon oncle nous démontres l’inverse, que le modernisme tue le bien-être, et a tendance a pesé sur l’atmosphère.

1. Les objets dans l’espace.

On constate que le thème les objets dans « l’espace » (c’est-à-dire dans un contexte particulier) est présent dans les deux documents qui composent le corpus.

Dans l’essai de M. LIPOVETSKY, on nous indique que : « Le design hypermoderne privilégie le léger, la mobilité et l’adaptabilité, l’association du fonctionnel et du senti, de l’épuré et du convivial, du nomadisme et du ludisme. »

Cela signifie donc que les objets modernes peuvent permettre de faire face à plusieurs situations, sans encombre.

Ils peuvent être déplacé sans problèmes, favorise les relations humaines. Ont peut donc facilement faire face a diverse situation sans trop de problèmes.

Prenons maintenant un contexte précis.

Dans le film « Mon oncle » de Jacques Tati il y a une situation précise qui démontre que cette notion de réactivité a des limites.

Alors que les protagonistes sont dans le jardin de la villa Arpel autour d’une table moderne et assis sur des chaises assortis, la fontaine déraille et commence à éclabousser les protagonistes.

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