Comparaison entre deux Artistes Contemporain : Orlan & Egle Zvirblyte
Étude de cas : Comparaison entre deux Artistes Contemporain : Orlan & Egle Zvirblyte. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Odile Plouvier • 12 Janvier 2022 • Étude de cas • 2 578 Mots (11 Pages) • 450 Vues
Sommaire
1. Introduction
2. Comparaison
3. Analyse critique et transversale
4. Conclusion
5. Bibliographie
1. Introduction
Mireille Porte dite ORLAN est une artiste platicienne féministe française née à Saint-Étienne en 1947 qui n’a
jamais limité son Art cherchant une perpetuel rennaissance se réinventant constament nomment ses créations «d’Art Charnel», dans le même élan que mouvement de l’Art Corporel. C’est à l’âge de 17 ans qu’elle
organisera ses premières preformances. Elle se fera connaitre grace à la photographie avec «Orlan accouche
d’elle même» ou elle considère déjà son corp comme une sculure, parrallèlement elle réalise des performances comme «Baiser de l’Artistes» à Caldas au Portugal, cherchant à dénoncer la pression social exercé
sur la femme.C’est une artiste qui va évoluer avec son époque nottament en faisant une série d’intervention
esthétique provenant de performances chirurgical filmé qui seront rassemblées dans «La réincarnation de
Sainte-ORLAN». Elle remet en question le statut du corp humain au sein de la société, la pression politique,
religieuse et préjugés sociaux. Sa préoccupation principal est la représentation de la femme à travers l’histoire qui était la pour faire plaisir aux hommes, elle défit le l’idéal conventionnel et prône la difference et
l’unique. Elle va explorer l’utilisation de nouvel technologie atistique avec «Art-Acces Review», un magazine
d’Art Contemporain sur minitel, ou encore de la retouche de photographie numérique et infographique avec
«Self-Hybridation» ou Orlan se transforme selon les concepts de beauté Africain vs Européen. L’artiste fait
de son propre corp le support pour combattre la nature, l’ADN et Dieu, la matière première et visuel de son
travail. Elle se diversifie et élargie les frontière de l’Art avec la Biotechnologie ou elle s’interroge sur la vie et
la mort d’un corp et de la matière avec son oeuvre «Harlequin Coat» un manteau chimère fait de peaux créer
grâce à des cellules cultivés résultat un motif patchwork au couleur de l’Harlequin, elle utilise maitenant son
corp pour créer de l’Art.. C’est une artiste pleine d’humeur, choquante bousculant les codes preétablis. J’ai
choisit une oeuvre photographique N°01 de la série «Les femmes qui pleurent sont en colère» car elle met
en lumière des femmes oubliés, dans l’ombre d’un monde d’Art masculin en s’inspirant et utilant une icône,
Picasso qui s’inspiré de muse inconnu du public. C’est la reconnaissance féminine et l’utilisation infographique que je partage avec l’artiste qui me rapporche de cette série et même son sens profond ou elle cherche
a exprimé graphiquement la colère à travers ses oeuvres avec force et couleurs. Egle Zvirblyte est une artiste
illustratrice multidisciplinaire appartenant au mouvement «Lowbrow», d’origine Lithuanienne et basé depuis
12 ans à Londre ou elle y a étudié le cinéma et le design spatial, elle a d’abord travailler dans la scénographie
et c’est plus tard qu’elle s’est concentré sur l’illutration, elle décrit son Art comme fun, lumineux et décalé.
Ses personnages anthropomorphiques sont ironiques et forts touchant des sujet humaniste et profond. Elle
a pour thèmatique principal, l’identité,le pouvoir féminin, la spiritualité, la transformation personnel ainsi
que la connexion humain entre les corp et la terre. C’est en voyagent à travers le monde qu’elle a acquis une
ouverture d’esprit visuel et culturel et gràace à cela s’est faite une clientèle internationale nottament pour
l’image de marque, la conception produit, de musique et de mode, parallèrelement à son travail commerciale,
elle développant et son art à travers la peinture, le street art en participant au « Life Is Beautiful Music & Art
Festival » à Las Vegas avec comme motivation de créer une expérience holistique qui aide à la transformation
positive de la communauté à travers des expériences partagées animées par l’art et la culture. Mais Egle voit
plus grand, voit plus fun et réalise sont rêve en créant une sculture gonflable 3D avec la colabortion de Glow
Inflatable a partir de son illustration emblématique «Ecstasy Babe». En 2018 elle se lance dans une installation a grande échelle en collaboration avce la galerie de Dublin Hen’s Teeth pour la biennale de Drop Everything,une série de sculture sur l’ïle Inis Oírr en Irlande. L’Artiste s’est inspiré de la culture local et des récits
du célèbre naufrage du cargo The Plassey en 1960 créant des personnage délirant offrant une nouvelle vie à
se vieux récits dans l’espoir de créer de nouvelle hitoire. J’ai choisit son installation «Le temple des transmunation», un labyrinthe créer pour le MIMA Museum à Brussel pour son exposition «ZOO», dont j’ai eu l’occasion d’aller voir en septembre 2020. Je l’ai choisit pour ses revendications de femme libre et je me suis sentie
religieusement proche de cette installation, comme une rennaissance feminine perpetuel, d’une pièce à l’autre
l’energie qu’offre l’Artiste est intence de la fête au calme abolue. Elle s’inspire de la pop moderne de la mythologie grecque comme si la «Dance» de Matisse avait embarqué à bord du «Yellowsubmarine» des Beatles. C’est
se que j’ai aimé, se multiculturalisme a travers ses illustrations graphique
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