Theatre
TD : Theatre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fabiola Rosa • 19 Janvier 2016 • TD • 3 939 Mots (16 Pages) • 833 Vues
Décors :
3 sillas como sofá (manta encima y cojines)
Mesa central con 3 sillas
Escritorio de Melina con fotos encima, cuaderno y lápiz
Televisión de cartón
Utilería:
Cajas, recortes de periódico, fotografías, sábanas, cojines, cartas y papel.
Vestuario personajes:
Nina: tennis blancos, overall, camiseta Fabiola
Melina: vestido/falda larga, camisa Andrea
Stella: jeans, camisa Gina
Luis: jeans, camisa polo blanca Emanuel
Leila: jeans, camisa, chaqueta Valeria
Fernando: traje Jacobo
Pablo: jeans, camisa polo negro Francisco
Guille: jeans, camiseta blanca Roberto
Reporteur: camisa de tela, pantalón de tela Carlos Sosa
President-Dictateur: traje estilo militar Juan Vides
Acte I
(Mélina et Paul sont assis et regardent la télé.)
Reporteur : (au public) Bonjour tout le mode, on est dans la chaîne nationale avec quelqu’un de très spécial, le président du pays. (au président) M. le président, dans les dernières 10 années plus de 1000 personnes de tout les âgés ont disparu. Mais, tous avaient quelque chose en commun, ils étaient contre le gouvernement actuel. Vous avez quelque chose à commenter sur ce thème ?
Président : J’ai seulement quelque chose à dire. Je ne suis pas responsable des disparitions de toutes ces personnes. La police est entrain de mobiliser toutes ces ressources à fin de retrouver les coupables de ces horribles actes.
Reporteur : Et sur les mesures prises contre les protestes qui ont eu lieu dans les rues ? Plusieurs des disparus n’avaient même pas participé à ces événements sous l’accusation de subversion.
Président : J’avais dit dans le passé que l’Etat allait prendre les mesures nécessaires contre ces actes de violence s’ils continuaient. Ils ont défié mes mots, donc ils ont payé les conséquences de ses actes.
Reporteur : D’accord. Bon, Est-ce-que vous pouvez parler su votre dernier discourt ?
Président : Bien sûr. Aujourd’hui, la situation du pays est différente. Même s’il y a encore des personne qui crient ‘’disparus’’, mois, je leurs répond ‘’réconciliation nationale, démocratie, élections’’. Maintenant, nous allons votez pour le nouveau président démocratiquement. Je cherche unifié le pays comme une grande famille. Pas plus.
Mélina : Mon Dieu, je ne peux pas croire qu’il est entrain de dire cela.
Pablo : Ne l’écoute pas, changeons de chaîne.
Pablo : Oh ! Mélina ! N’es pas t’elle triste figure, chérie. Rappelle toi que mon vieux pote, Luis va venir plus tard.
Mélina : Oh mince, c’est vrai.
Pablo : Allé, Mélina prépare un peux de café et du pain pour te distraire. Pas besoin de te torture de t’elle forme. (S’assied à côté d’elle)Eh, rappelle toi du jour qu’on c’est connue. Tu voulais réparer la caléfaction et je t’ai retrouvé sous la pluie pendant que j’allais dans ma voiture et je t’ai offris mon aide.
Mélina : Oui, je me rappelle. Bon, avoir des amis ça fait toujours du vient n’est-ce pas ?
Pablo : (s’éloigne et prend le journal) Bien sûr.
Mélina : Bien sûr (range le cahier avec le stylo et sort).
On touche la porte.
Pablo : Ça doivent être Luis et Rosita. Mélina ! Ils sont là !
Mélina : Quoi ? Je n’ai pas finit de retoucher mon maquillage, distrais les un peu Pablo.
Pablo : Oui, oui, oui.
(Luis rentre)
Pablo : Ben, ça fait vachement longtemps depuis qu’on ce voit.
Luis : C’est vrai, ça fait longtemps. Et Mélina ? Ça va mieux ?
Pablo : On a encore du mal à accepter l’absence de Paloma, de son époux, de sa petite fille Nina. Je garde une photo d’elle et sa famille dans mon étui de cuir et chaque fois que je la vois j’ai envie de pleurer. Mais cela n’est rien en comparaison de votre histoire.
Luis : Oui, ans mon cas ça l’aire d’un rêve de penser que j’étais attrapé dans l’école militaire il y a quelques ans.
Pablo : C’est vraie, tu voudrais me raconter ton histoire, Mélina aime bien avoir des secrets.
Luis : Elle est encore comme ça ?
Pablo : Oui.
Luis : D’accord. Moi et mon épouse Rosita ont été enfermés dans deux différentes cellules avec trois autres personnes qu’on ne connaissait pas. Quand on sortait de ces prisons, ils disaient qu’ils allaient nous interroger, mais la réalité était une torture qui n’avait jamais une fin. Ils ne nous donner rien à manger, seulement de l’eau. On n’avait même pas de l’espace pour s’assoir. Christ ! J’ai même vue ma femme être violé et je n’ai rien fais.
Pablo : Vous avais fait un miracle comme même, vous avait réussis à sortir.
Luis : C’est vrai. C’est pour ca qu’on fait tout ce qu’on peut pour retrouver aux restes de personnes qui étaient avec nous et d’amener les responsables devant la justice.
Mélina (rentre avec du café et du pain et le laisse sur la table) : Luis ! Ça va ?
Pablo : (à Mélina) Ça a été vite eh ?
Mélina : Tais toi.
Luis : (se lève et serre Mélina) : Mélina, ça va ? La dernière fois qu’on s’est vue ca a été pour ton anniversaire. Rosita est malade, donc elle a resté au lit.
Mélina : D’accord.
Luis :(à Pablo) Elle a l’aire très triste.
Pablo (à Luis) : Et je n’arrive pas encore à le changer.
Mélina : Qui pourrait penser qu’on s’est connue dans la poste de police quand ont cherché des informations Paloma et ton fils.
Luis : C’est vrai. Tu te rappelle de lui ? Rosita avis été capturé quand j’étais enceinte. Elle a eu mon petit pendant que j’étais encore attrapé. Depuis le moment qu’il a vue le monde, on l’a pris et donner à une autre famille. Je n’ai même pas pus voir clairement son visage.
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