L'art peut-il réparer la bêtise humaine ?
Résumé : L'art peut-il réparer la bêtise humaine ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar 240106 • 29 Décembre 2022 • Résumé • 1 002 Mots (5 Pages) • 410 Vues
L’Art peut-il réparer la bêtise humaine ?
Un défi, cette pièce est un défi fou, monter une pièce connue du monde entier dans un pays en pleine guerre. La pièce de théâtre « Le 4ème mur » part d’une promesse faite sur un lit d’hôpital et va permettre au personnage de George de découvrir un autre monde, celui de la guerre.
La pièce est l’adaptation du roman de Sorj Chalandon, publié en 2013 et lauréat du prix Goncourt des Lycéens. Son auteur est un grand reporter et écrivain français qui a lui-même porté le nom de « George » et qui a milité pour l’organisation d’extrême gauche, la gauche prolétariat. Il travaille aujourd’hui dans le journal le Canard enchaîné et il travaillait auparavant dans le journal Libération.
L’histoire
George (Julien Bleitrach ), jeune étudiant de la Sorbonne promet à son ami Sam de réaliser son rêve et d’aller monter la pièce Antigone de Jean Anouilh en pleine guerre de religion au Liban. A cause d’un cancer en phase terminale Sam son meilleurs ami est en incapacité de le faire mais en tant que metteur en scène, il s’agit de son plus grand rêve. George pense être prêt à affronter cela, il pense qu’avec ces passe droits il y parviendra s’en difficultés. Mais ce n’est pas quelques morceaux de papier qui vont lui assurer la réussite. Il faut d’abord faire le tour du pays pour rassembler les comédiens, tous de religions différentes. Il va très vite devoir faire face à la vie en temps de guerre car l’un des comédiens ne pourra intégrer la troupe que si son grand frère, un sniper expérimenté accepte. Mais ce dernier en voyant arriver George décide de ne pas lui donner sa réponse tout de suite, il veut d’abord lui montrer son rôle dans la guerre. Il demande à George de s’asseoir par terre et de s’accrocher à sa jambe, l’homme se prépare à tirer et George sent les muscles de sa jambe se contracter et se préparer pour tuer une vie. Une fois tous les comédiens rassemblés dans un vieux cinema qui a lui aussi connu les bombardements, il fait face à quelque réticence de la part des comédiens. Et il ne parviendra jamais à monter son spectacle car la guerre est plus forte, elle prend le dessus et l’empêche de continuer son projet. Une nuit a la suite du massacre de Sabra et Chatila il décide d’aller sur le lieux du crime et il va tomber sur la mort, jusqu’ici elle ne l’avait pas vraiment touché mais là c’est différent car ce sont des innocent qui sont touché, des bébés, des enfants, des vieillards … et une enfant en particulier, il s’agit de la jeune Antigone elle a été massacré, violé et tué. La mort l’entraîne dans une rage folle et George découvre que la troupe a l’origine de ce massacre était dirigé par le sniper. Épris par un sentiment de vengeance, la guerre réussit à le faire tuer à son tour, il tombe dans ces démons. Lorsqu’il rentre en France il a complètement changé sa vision sur la vie, le monde et le bonheur. Et il prononce une phrase marquante qui nous fait réaliser le monde dans lequel on vit « Je ne supporte plus ce monde dans lequel les enfants pleure pour une glace ».
La scénographie
La pièce est un seul en scène dans laquelle le comédien est mis en valeur a l’aide de trois panneau blanc sur lesquels il
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