Jerome Bosch + La Nef Des Fous
Recherche de Documents : Jerome Bosch + La Nef Des Fous. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 3 Juin 2013 • 362 Mots (2 Pages) • 1 084 Vues
De son vrai nom Hieronymus Van Haken,(Jérôme Bosch) est né en 1450 et il mort le 9 août 1516.C’était un peintre néerlandais d’origine allemande. Enfant d’une famille modeste installée au Pays-Bas, Son grand-père Jan van Aken et son père Anthonis van Aken étaient aussi peintre. Il épousa en 1478 une aristocrate. Il devient le peintre attitré de la confrérie Notre-Dame (association religieuse consacrée au culte de la Vierge).Il devient très vite réputer hors de son pays natal et s’inspira pour des œuvres sacrilèges .Il dessinera en 1480 « les sept péchés capitaux »puis vers 1500 « la nef des fous »et vers 1504 « le jardin des délices ». Vers 1510, il changera de styles avec des tableaux à demi-figures représentant des personnages à mi-corps, placés au premier plan. Son style est caractérisé par des personnages caricaturaux issus des bestiaires du Moyen-âge , mis en scène dans des diableries. Il est reconnu par les surréalistes du XX eme siècle comme le "maître" de leur art pendant très longtemps.
La nef des fous est un tableau de Jérôme Bosch publiée en 1494 faite en huile sur du bois .Elle mesure 58 32 cm et se trouve au Louvres. Il est directement inspiré de la Nef des fous publié en 1494 par Sébastien Brant. Un moine est assis dans un bateau à la dérive, entourés de personnes grotesques. Ils sont placés sous un coudrier, arbre qui signifie la bêtise dans la littérature du XVIe siècle, et dans lequel apparaît une chouette, Dans le même temps, un homme grimpe au mât et tente de sectionner la ficelle d’un palet avec un grand couteau le monde qu'il peint est un monde renversé tel qu'on le retrouve dans la vie à l'époque (mis à part les interventions d'origine imaginaire de l'artiste). Ce n'est pas la tête qui règne ici mais le ventre .Sa folie est d'adorer le ventre, sa folie est le péché. Le péché de la gourmandise ainsi que celui de la luxure étaient des vices très répandus depuis longtemps dans les monastères. Il dénonce les vices par la folie en les attribuant à des personnages appartenant apparemment aux classes inférieures de la société
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