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Location maison Parma Stendahl

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Par   •  5 Mai 2015  •  Commentaire de texte  •  512 Mots (3 Pages)  •  667 Vues

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Nous allons étudier trois textes, La Chartreuse de Parme de Stendhal écrit en 1839, Voyage au bout de la nuit de Céline, et enfin le Désert de Clézio, ces textes ont tous le même thème, la guerre. Dans ces trois extraits nous avons des scènes de guerres, de différentes époques, mais qui ont des points communs. A travers ces romans les auteurs cherchent a donner leur point de vue sur la guerre. Nous allons voir que ces auteurs veulent tous montrer la réalité de la guerre.Le passage, de la Chartreuse de Parme, commence sur une note d'humour avec le jeu sur les deux sens du mot " héros " « notre héros était fort peu héros ». Déjà nous pouvons voir que Stendhal montre la réalité de la guerre, personne n'est un héros quand il est combattant. Stendhal montre cette réalité par les sentiments de son personnage face à l'horreur de la guerre, il est « scandalisée » et « malheureux » . Cette vision se rapproche de celle de Céline ou le personnage principal est lui aussi effrayé et en plus est un lâche « serais-je donc le seul lâche ? ». En revanche le personnage principale de Stendhal retire de la fierté, « satisfaction » à participé a la guerre. Le Clézio ne donne pas les sentiments du protagoniste, mais décrit la scène de chaos typique de la guerre « bruit sinistre qui hachait l'air » « un flot de cavaliers « les gémissements » « cruel ». Stendhal décrit lui aussi la scène de combat par le regard de Fabrice, le personnage principale,« champ jonché de cadavres » « boulets faisaient volées la terre de toutes parts », par ce passage il donne une vision différente de la guerre ou tout est coordonnée, prévu. Céline lui aussi donne la même vision de chaos avec l'hyperbole « croisade apocalyptique » et accentue la vérité de la guerre avec la réflexion du personnage « on y passerait tous ». Bardamu ne voient plus aucune humanité dans cette guerre et compare les hommes a des chiens enragées et même « plus enragées les chiens, cent mille fois plus ». Dans le Désert aussi, l'humanité comme le temps n'existe plus « quand quelques minutes suffisent pour tuer mille hommes, mille chevaux » fait remarque l'auteur. Même si Stendhal ne le mentionne pas explicitement nous pouvons penser que la guerre de Waterloo est inhumaine, car qu'elle guerre est humaine. Face à cette inhumanité et ce chaos s'ajoute l'incompréhension. Cela ressort clairement chez Céline, ou le héros se pose beaucoup de question et notamment si ce n'était pas une « abominable erreur ? ». Et il n'est pas le seul, le protagoniste du roman de Stendhal « n'y comprenais rien du tout ». La confusion aussi car « tout c'est passé très vite ». Même si la guerre se déroule à différentes époques, elle reste horrible, cruelle, chaotique et souvent incompréhensible. C'est ce qui ressort des trois extraits analysées, les trois auteurs ont la même vision de la guerre et l'exprime par leur roman. Ces auteurs ne cherchent pas à embellir la vision de la guerre est à la montrer comme un noble but et faire du combattant un héros. Cependant cette dénonciation de la guerre est différente selon les auteurs.

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