Le surrealisme de 1920 a nos jours
Rapports de Stage : Le surrealisme de 1920 a nos jours. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cath13400 • 15 Mai 2013 • 299 Mots (2 Pages) • 1 068 Vues
En arts appliqués, surréalisme veut dire: "La Première Guerre mondiale dispersa les écrivains et les artistes qui étaient à Paris. Nombreux étaient impliqués dans le mouvement Dada et estimaient que la pensée rationnelle excessive et les valeurs bourgeoises étaient à l’origine de ce terrifiant conflit dans le monde.
Les dadaïstes protestèrent avec des rencontres antirationnelles et anti-art, des spectacles, de l'écriture et des œuvres d'art. Après la guerre, quand ils retournèrent à Paris, les activités Dada continuèrent.
Le chef en devenir du surréalisme André Breton, possédant une formation en médecine et en psychiatrie, servi dans un hôpital neurologique où il utilisa les méthodes psychanalytiques de Sigmund Freud sur des soldats. Il rencontra également le jeune écrivain Jacques Vache.
Breton se joignit aux activités des dadaïstes dont Louis Aragon et Philippe Soupault. Pour écrire leurs pensées et sans aucune censure, ils expérimentèrent l'écriture automatique. Ils en vinrent alors à croire que l'écriture automatique était une meilleure tactique pour l'évolution de la société que d’attaquer les valeurs à la façon Dada. Ce groupe était composé de plusieurs artistes dont Max Ernst, Marcel Duchamp ou encore Joan Miró.
En 1924, Miro et Masson appliquèrent les théories surréalistes à la peinture, conduisant à l'exposition « La Peinture Surréaliste », en 1925. Cette exposition fut la toute première exposition surréaliste à la galerie Pierre de Paris. Les œuvres affichées étaient celles de Masson, Man Ray, Klee, Miró et d'autres. L'année suivante, le 26 mars 1926, la Galerie surréaliste ouvrait ses portes avec une exposition de Man Ray.
Lors de l'exposition surréaliste internationale des Beaux-arts de Paris, Duchamp conçoit le hall principal pour ressembler à une grotte souterraine avec 1200 sacs de charbon suspendus au plafond Duchamp conçoit le hall principal Le tapis est rempli de feuilles mortes, de fougères et d'herbes, et l’arôme de torréfaction du café remplit l'air.
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