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JEAN CLAUDE DONNEAU ENTREPRENEUR : GERARDY CHRISTIAN

Rapport de stage : JEAN CLAUDE DONNEAU ENTREPRENEUR : GERARDY CHRISTIAN. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Août 2016  •  Rapport de stage  •  2 747 Mots (11 Pages)  •  1 031 Vues

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m

Patrick HM

Année académique 2011-2012

Université

U %

Rapport de STAGE Cycle BACHELIER

de Liège

FACULTE D’ ARCHITECTURE

RAPPORT DE STAGE
OBSERVATION D’UNE EXTENTION D’UNE
HABITATION UNIFAMILIALE

ARCHITECTE : JEAN CLAUDE DONNEAU ENTREPRENEUR : GERARDY CHRISTIAN


TABLE DES MATIERES

  1. INTRODUCTION        1
  2. DEMOLITION        2
  3. TERRASSEMENT        4
  4. FONDATION        6
  5. MAÇONNERIE        8
  6. PLANCHER        12
  7. TOITURE        14
  8. TERRASSE        15

CONCLUSION        17

  1. [pic 1]
  2. ANNEXE
  1. INTRODUCTION

Le stage que j’ai effectué est une observation d’une extension d’une habitation individuelle. Le chantier se situe rue BAY BONNET numéro 36 sur la commune de SOUMAGNE (4630), auprès de l’entreprise de construction GERARDY Christian.

Ce chantier consiste à un agrandissement de la pièce d’eau isolé et d’une création d’une terrasse, et d’un garage non isolé.

L’organisation de mon plan suit Tordre chronologique d’une construction. Ce plan se réalisera donc comme le chantier, c’est à dire en deux phases, la première : module GARAGE - PHASE A - et la seconde : module EXTENSION de l’habitation - PHASE B -

  1. DEMOLITION

- PHASE A -

Pour cette phase, l’entrepreneur fait appel à une entreprise de machine de travaux-public qui réalisera cette étape. En premier temps l’entrepreneur va discuter avec le chauffeur pour pouvoir réaliser les travaux dans de bonnes conditions, et afin de permettre une bonne approche de cette démolition, sans incidents. Ceci a pour but de réaliser un périmètre de sécurité autour du site de démolition.

[pic 2]

Mise en place des cuves en béton :

Après cette phase, on va mettre en place les deux cuves en béton (par manque de place après la construction du garage). Une pour permettre la récupération des eaux de pluies et l’autre en tant que fosse septique (toutes eaux individuelles). L’emplacement de ces cuves, comme indiqué sur le plan d’implantation de l’architecte, se fait par un premier repérage approximatif du bâti à construire et par une matérialisation avec des barres d’acier à béton plantées dans le sol (mise en place au décamètre).

[pic 3]

Au fur et à mesure de l’avancement en profondeur du terrassement des cuves, le sol devient très instable et très friable dut à sa composition (de fines paillettes d’ardoises), donc une prudence est plus que nécessaire au conducteur de l’engin de TP et surtout pour les personnes autour du site. La mise en place des cuves en béton se fait directement sur ce type de sol (après discussion avec l’ouvrier de la compagnie de la cuve).

Mais pourtant        I’entreprise de cette cuve, préconise qu’elle soit posée sur un lit de sable afin

d’éviter tous désagrément dans le temps de la cuve (déséquilibre dut au poids de l’eau


Le niveau de ce terrassement s’effectue avec un niveau automatique au laser (au préalable avec un bon réglage du 0,00 de celui-ci) afin que les eaux aient une pente suffisante pour leurs écoulements (Photo 5). Une mise à niveau rapide a été fait au préalable avec la pelleteuse et à la pelle manuelle.

[pic 4]

Ensuite vient le dégagement des gravas par une noria composée de deux camions-bennes.

- PHASE B -

Cette phase est réalisée bien plus tard, après la construction du garage. Elle reprend le même procéder de réalisation dit précédemment pour la démolition de l’extension existante, en faisant attention au mur porteur de la maison, car il n’est pas en très bon état. Après exploration du sous sol, on a une absence de fondation sur ce mur porteur (Photo 8)

[pic 5]

-3 -


  1. TERRASSEMENT

- PHASE A -

A cause d’une différence du niveau du terrain, l’entrepreneur réalisera deux approches pour la position des points fixes du bâtiment A.

Première approche : La mise en place plus précise des chaises, commence par le repérage sur le terrain des points fixes du bâtiment matérialisés sur le plan d’implantation. A partir des points déjà mis en place auparavant, une série de mesures au décamètre permettra de placer les repères au bon endroit représentant les points particuliers du projet. Pour réaliser une pose en équerre, l’entrepreneur utilise le théorème de Pythagore sur un triangle rectangle. Tous ces points sont reliés par un fil fluorescent tendu.

[pic 6]

Apres que tout cela soit fait, un marquage au sol par une bombe de peinture aérosol fluorescent vient se compléter avec un recul d’une cinquantaine de centimètres, pour permettre le terrassement par une pelleteuse après enlèvement des barres à béton. Le terrassement est réalisé avec une pelleteuse en sur-largeur (étanchéité par la suite) et en respectant la profondeur à l’aide d’un niveau automatique.

Deuxième approche        e± mise en place des chaises : L’entrepreneur recommence ces mesures,

mais cette fois ci, plus précise que les précédentes, afin de mieux placer les points du bâtiment.

Les chaises sont ensuite montées : assemblages de lattes et de voliges en coin plus ou moins à angle droit, et que l'on plante dans le sol de façon à ce que la partie supérieure de chacune soit à peu près au même niveau et de prévoir un recul assez grand par rapport au tracé pour que la chaise ne gêne pas lors du terrassement final (Photo 11).

[pic 7]

-4-


- PHASE B -

Le procédé de la pose des chaises et du terrassement est du même type décrit précédemment dans la phase A.

...

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