Analyse De La Peinture Espagnole Au 17 ème Siècle
Mémoire : Analyse De La Peinture Espagnole Au 17 ème Siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zara1350 • 9 Février 2015 • 392 Mots (2 Pages) • 1 724 Vues
La Peinture Espagnole au 17e siècle
Diego Vélasquez
C’est le premier peintre officiel de la cour espagnole.
Les portraits sont ses sujets favoris, il fera beaucoup de voyage à Rome.
Ses premières toiles sont d’un réalisme rigoureux. Il est influencé par Caravage, il évolue alors vers une peinture de peintre, il invente une touche libre et expressive. Il va être en quelque sorte le précurseur de l’impressionnisme.
[Peintre de peintre : c’est une peinture qui vit, qui bouge, qui évolue, qui s’invente, qui a de la force.]
Les Ménines (demoiselles d’honneurs), 1656, huile sur toile, 318x276 cm.
Il y a un miroir, il reflète le roi et la reine qui sont en train de ce faire peindre par Vélasquez. C’est comme si on se trouvait à leur place et que c’est nous que Vélasquez peinait. En réalité à la place d’être un portrait du Roi et la Reine c’est un portrait des Ménines.
En plus il y a Vélasquez dans le tableau donc c’est aussi un autoportrait.
Il y a aussi l’infante et 2 Ménines à ces cotés, une naine, un chien, un ecclésiastique et une gouvernante.
Il y a aussi un type dans le fond ce qui donne de la profondeur au tableau.
C’est une simple scène de genre : l’infante vient voir ses parents se faire peindre par Vélasquez. C’est un « instantané photo », c’est une photo avant l’invention de la photographie.
La fenêtre a droite donne la lumière comme la porte du fond et il y a aussi une source de lumière à l’avant-plan mais on ne sait pas d’où elle vient.
Il y a un clair-obscur, il est plus doux que chez Caravage. Ce n’est pas vraiment du luminisme.
La reddition de Breda (ville anglaise)
José de Ribera (1591-1652)
Il est d’un réalisme objectif.
Le Pied-bot (1642)
C’est un portrait d’un petit mendiant pauvre, souriant, peint tel qu’il est ; il ne sait ni lire, ni écrire.
Luminisme très évident.
Il peint aussi des scènes de martyr cruelle : Le martyr de Saint Rémy.
Zubaram (1598-1664)
Son œuvre est toujours très religieuse et principalement de la vie monastique.
Le luminisme est son point fort (ex : St François)
Sa peinture est très mystique, ses figures sont très réalistes.
Murillo (1618-1682)
Son œuvre est religieuse et principalement la vie de la vierge. Il introduit quelque chose de neuf : La Séville populaire.
La veille
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