Etude de corpus
Lettre type : Etude de corpus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emilienL • 10 Mars 2018 • Lettre type • 635 Mots (3 Pages) • 637 Vues
Lainé 2nd6
Émilien
Étude de corpus
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Ce corpus est composé de trois extraits de pièces de théâtres datant du XVIIe, XIXe et XXe siècle. Ces reprises expriment la violence sur scène, celles-ci sont exprimées différemment donc nous allons étudier comment les trois extraits parviennent à représenter ou à évoquer ces actes violents.
Premièrement, nous réfléchirons aux raisons qui insistent les meurtriers de tuer. Comme au vers 47 dans Horace, la patience d’Horace est limité face à Camille qui se lamente de son frère d’avoir tué son mari Curiace car il a choisi de faire passer la patrie et l’honneur avant l’amour fraternel. Suite aux plaintes perpétuelles de sa sœur, il décide donc de la tué afin de ne plus l’entendre protester.Puis dans Lorenzaccio, par le paratexte qui montre que que Lorenzo veut tuer le duc Florence qui est un tyran débauché et haï de tous et afin que Florence retrouve la démocratie et la pureté. Il agit tel pour l’honneur de sa ville.Et dans Électre, ici dans le paratexte, Clytemnestre et Égisthe tuent Agamemnon afin de lui prendre le pouvoir.
Deuxièmement et dernièrement, nous traiterons la façon dont la violence est exposée. Ici des insultes sont présentes, par exemple Camille insulte son frère comme au vers 6 « Barbare », au vers 15 « Tigre altéré de sang » et au vers 49 « Traître ! ». Par ailleurs, les meurtriers sont, par le vocabulaires, caractérisés de façon péjorative comme à la ligne 7 « assassins ». Les objets sont aussi sources de brutalité tel que l’épée par « Horace mettant l’épée à la main », la ligne 21« Lorenzo rentrant l’épée à la main » et la ligne 24 « ( Il le frappe de nouveau) ». Puis les conséquences de cette objet est évoquées par « Camille, blessée derrière le théâtre » et la répétition du même verbe au ligne 22 et 24. De plus, beaucoup de détails des coups donnés est présent comme aux lignes 6 et 23. Mais, il y a en plus les mouvements qui témoignent de cette férocité comme dans « Horace qui poursuit sa sœur qui s’enfuit » : beaucoup d’aller et venues sont présent. Et puis par les bruits comme à la ligne 46 « tapage ».
Après analyse, on en déduit qu’il s’agit pour chaque extrait d’un crime politique et que la violence présente y est verbale.
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