La vie à l’heure d’été
Cours : La vie à l’heure d’été. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nara • 8 Mai 2014 • Cours • 262 Mots (2 Pages) • 837 Vues
La vie à l’heure d’été
Chaque année, en mars, la polémique sur le passage à l’heure d’été ressurgit.
Au printemps, après l’instauration de l’heure d’été les récriminations, sont nombreuses : fatigue, difficultés de sommeil, levers titubants, esprit longtemps embrumé…En été, à quatorze heures (heure légale), il est midi au soleil Le plus mauvais moment pour celui qui poursuit une activité de plein air (vignerons, homme de chantiers, routiers…)
Chez les agriculteurs, deux repas doivent être prévus le soir, à cause du décalage: l’un vers vingt heures, pour que les enfants puissent net aller se coucher, un autre, quand les « hommes »
rentrent des champs .Résultat, on n’aura pas passé la soirée ensemble. Le lendemain matin, on ressort vers huit heures, mais il est seulement six au soleil, et la nature est encore détrempée par la rosée…
D’une façon globale, on constate du pour tous les enfants, lors du troisième trimestre, une baisse du tonus et de l’attention …
Pourtant, certains se réjouissent: il s’agit en général de citadins. Après le travail, ils peuvent encore faire du tennis, tondre le gazon dîner dehors… Minuit, tiens, déjà? Le lendemain, réveil à sept heures (c’est-à-dire cinq); Dur .
Alors pourquoi et toujours l’heure d’été ? Pour les 30 000 tonnes équivalent de pétroles économisées ? Il est, en effet, plus difficile d’évaluer la fatigue que de compter les barils! Pourtant, le coût social semble lourd : en été, dans les cités, enfants et adolescents traînent tard le soir dehors.
Des travailleurs excédés par des vacarmes s’exaspèrent, ouvrent leurs volets, hurlent…Parfois, c’est le drame .
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