TPE sur la Trisomie 21
TD : TPE sur la Trisomie 21. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Amber Ferry • 25 Septembre 2017 • TD • 412 Mots (2 Pages) • 967 Vues
Hugo s'engage dans son roman en nous montrant son point de vue, celui du peuple, ainsi que celui du condamné. Il défends ses idées en nous offrant donc un récit politique, philosophique, religieux et psychologique.
D'abord, nous connaissons l'avis du peuple, qui pour eux, la peine de mort est une bonne chose. Dans le roman, on nous dit très clairement que la peine de mort protège la société des criminels, selon les partisans, la condamnation à mort est une vengeance, un punition pour leurs faits, leurs actes et surtout la peine capital est exemplaire. C'est-a-dire que pour le peuple, la peine de mort est une bonne action au final, elle permets d'avertir les autres personnes, autres générations de ce qu'il les attends après une mauvaise action.
Ensuite, nous avons l'avis d'Hugo, qui nous dit exactement l'inverse des partisans. Hugo nous montre que son point de vue est tout aussi applicable en déclarant que la peine de mort comme inutile et barbare, que c'est aussi une humiliation, une souffrance, une atrocité infligées au condamné. Il insiste encore plus en montrant qu'une fois cette peine appliquée elle est irréversible, pour lui, la prison a perpétuité est suffisante. Pour Hugo, on n'a pas besoin de tuer, de punir, de venger, on doit seulement corriger la société pour l'améliorer. Hugo ne se contente pas de contredire le peuple, il cherche a impliquer d'avantage les lecteurs en les touchants par ses arguments.
Puis nous connaissons le point de vue du condamné, cette homme qui n'en n'est plus un, il est déshumanisé. On le deshumanise car il est condamné, on ignore tout de lui, on ne sait pourquoi il est ici. On découvre ses derniers jours dans un journal intime, un long monologue où l'on apprends un peu a le connaître durant cette solitude forcée avant la mort. On sait grâce a cela qu'il est d'accord avec sa condamnation, qu'il accepte le fait d'etre puni et donc est d'accord avec la peine de mort.
Enfin, Hugo s'engage en faveur d'un enseignement pour tous, contre la misère. Il pense que l'education de la connaissance permettront aux personnes de sortir de la misère, et donc d'eviter les vols, les crimes, et toutes sortes de délits qui seraient normalement punis par la condamnation a mort.
Pour conclure, Hugo affirme l'inutilité de la peine capital, mais il propose une alternative, une aide pour reduire voire supprimer cette condamnation : la société doit avoir une missions éducative. Pour lui, rien ne justifie la peine de mort.
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