TPE les médias
Fiche : TPE les médias. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar azert yuiop • 28 Janvier 2019 • Fiche • 753 Mots (4 Pages) • 609 Vues
L’histoire des médias
- Les médias sont présents dans la vie quotidienne des français depuis plusieurs siècles. Tout d’abord c’est le journal papier qui fait son apparition et dominera les médias français de
1880 à 1930. Le tout premiers journal papier apparu le 30 mai 1631 et était nommé « La
Gazette », le premier quotidien, quant a lui, est apparu le 1er janvier 1777 et portait le titre « Le
journal de Paris ». C’est 29 juillet 1881 qu‘est créé la loi de liberté de presse, l’une des plus
libérale en France, qui définit les libertés et responsabilités de la presse française. La presse
papier est beaucoup utilisé pendant la 1ère GM.
- C’est le 24 décembre 1921 qu’est émise la première émission radiophonique en France depuis la Station Tour Eiffel. En 1923, l’Etat met en place un monopole sur la radio, cependant, la possession de postes de radio est autorisée à condition d’en faire la déclaration. Pendant la seconde guerre mondiale a eu lieu une « guerre des ondes » : de nombreuses archives sonores inédites de la seconde guerre mondiale et de la propagande radiophonique, diffusées dans leur grande majorité pour la première fois, sont archivées par La Radiodiffusion de la nation française (RNF) qui crée sa phonothèque (puis ce sera l’INA qui rependra le flambeau un peu plus tard). L’utilisation de la radio en temps de guerre est surtout connue grâce à l’appel du Général de Gaulle le 18 juin 1940.
- Enfin, le 24 février 1950 est diffusé le tout premier direct télévisé, présentant la pièce de Marivaux "Le Jeu de l'Amour et du Hasard" est retransmise en direct sur l'unique chaîne de télévision, depuis la Comédie-Française. C’est en octobre 1967, a 14h15 que la couleurs arrive sur les écran de téléviseur. On a aussi pu assister à la première émission en direct de l’espace en 1968 a l’occasion de la mission Apollo 7. Pour finir, l’ORTF (Office de Radiodiffusion-Télévision Française, qui gère la transmissions émission télévisée) se dissous en 7 sociétés: Radio-France, 3 chaînes de télévision (TF1, Antenne 2, Fr3), la Société Française de Production (SFP), télédiffusion de France (TDF) et l’Institut National de l’Audiovisuelle (INA), toutes sous tutelle du 1er ministre, avant de ne plus l’être grâce a la fin du monopole de la programmation audiovisuelle né 1982.
http://www.linternaute.com/histoire/categorie/15/a/1/5/histoire_des_medias.shtml
Les relations front / arrière pendant la 1ère GM
- Durant la 1ère guerre mondiale, les soldats n’étaient pas très informé de ce qui se passait a l’arrière. cependant, lorsqu’ils n’étaient pas en train de se battre, ils écrivaient des lettres. Durant cette période, il y eu l’apparition des « marraines de guerre », qui avaient pour tache de répondre au soldats, afin de les soutenir moralement, psychologiquement voire même affectivement.
- Hormis les lettres, les soldats n’avaient pas beaucoup de moyen de communication. C’est pourquoi certains commencèrent à rédiger d’abord de manière manuscrite puis sous formes de petites feuilles imprimées, des journaux destinés a distraire les camarades, appelés « Journaux de Guerre ». Le tout premier était intitulé « L’écho de l’Argonne » et fut écrit en octobre 1914. Arrive ensuite « Le Canard du Boyau », « L’Anti-Cafard » et d’autres encore. Au total c’est plus de 450 titres qui sont crées. Même si leur tirage était tes limité, ces journaux tiennent un rôle essentiel sur le front, comblant l’absence de nouvelles et aidant, par l’humour, à vaincre l’ennui et parfois le désespoir.
- A l’arrière, les populations essayaient de s’informer avec les journaux, la plupart ne donnaient que de mauvaises informations sur le front (ce qui ne rassurait pas les populations), et étaient souvent censurés.
- Cependant, les journaux sont beaucoup utilisé par le gouvernement pour faire passer des informations, notamment l’Ordre de Mobilisation Général qui est apparu dans les journaux le 2 août 1914.
- les journalistes quant eux n’ose pas écrire des articles sur la guerre: « Et les journalistes trouvent la guerre pittoresque! Et même, quand ils ne la trouvent pas pittoresque, quand ils la trouvent moche et sale, comment voulez-vous qu’ils décrivent ça à peu près fidèlement, si moi- même je souffre de ne pas pouvoir le décrire dans mes lettres! Il faut y avoir passé pour s’en rendre compte. » écrit André Pézard dans son livre « Nous autres à Vauquois, 1915-1916 »
- De nouveaux mots voient le jour comme « bobards » et « bourrage de crâne »
http://centenaire.org/fr/espace-pedagogique/ressources-pedagogiques/deuxieme-degre/les-journaux-de-tranchees-une-information
http://www.cndp.fr/crdp-reims/fileadmin/Images/cddp10/Jocelyne/La_Presse_pendant_la_guerre_de_1914_1918.pdf
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