TPE JAPON : Dans quelle mesure le Japon est un paradoxe entre 1864-1986 ?

Fourreau Erwann 1ère ES1

Vonthron Tom 2018/2019

Le Pourhiet Léan

professeur encadrant : Madame Guérin (es)

Monsieur Vallon (histoire/géo)

Travaux Personnels Encadrés de 1ère ES Lycée alain

Thèmes : La Mondialisation

Sujet : Le Japon 1864-1986

Dans quelle mesure le Japon est un paradoxe entre 1864-1986 ?

Sommaire:

Introduction/contexte et transition……………………..…..p.

I) Avant ère meiji…………………………………………….....p.

II) L'ère meiji…………………………………………………….p.

III) Après ère meiji………….…...…………………………......p.

Conclusion ……………………………………………….….....p.

Introduction

Le film “Le dernier samouraï” sorti en 2003, réalisé par Edward Zwick met en évidence le choc historique de l'ère meiji entre l’époque féodale des samouraï et la modernité . On voit dans la dernière scène le dernier samouraï qui meurt fusillé, sans honneur, ni dignité : Cela marque la fin de l'ère des samouraï . Le japon est devenu puissant grâce à son ouverture accélérés au monde qui lui a permis de se développer, d’importer et d’exporter différents produits . Mais aussi une nouvelle façon de vivre . L'ouverture de l’économie et de la culture du Japon a été très importante a partir de 1864 . L'ouverture à l’occident a permis le capitalisme japonais, inspirés des Allemand qui est basées sur la concentration des services par les keiretsu. C’est aussi une économie pour laquelle le commerce international se fait librement et prend une part importante dans l'économie du pays (PIB).

Dans quelle mesure le Japon est un paradoxe entre 1864-1986 ?

Dans un premier temps nous allons voir les caractéristique de l’avant ère meiji puis nous verrons l'ère meiji et son développement et enfin sa suite et sa continuité.

Contexte et transition:

“L’ancien et le moderne” nous ouvre des perspectives entièrement neuves et attrayantes sur les structures juridiques, politiques et sociales du Japon, depuis le très haut Moyen âge jusqu’à l’ère de Meiji. Sans aucune concession aux facilités de la vulgarisation historique, et bien qu’il n’entre pas dans son propos directeur de nous fournir les clefs d’une histoire comparative du Japon et de l’Occident médiéval.

Le concept de « paradoxe japonais », mis en circulation voyante par l’historiographie anglo-saxonne des années 1990 fait d’abord l’objet, en manière de chapitre d’ouverture, d’une longue analyse critique : Pour les historiens occidentaux en question, « le paradoxe » tiendrait dans cette constatation de base : le Japon a été la première et jusqu’à ces dernières décennies la seule société non occidentale à avoir développé avec un plein succès un processus de modernisation et d’industrialisation. Un tel processus se caractérisait en fin de compte par :

Son caractère extrêmement rapide et radical, avec la mise en place d’une bureaucratie centralisée au service d’une révolution industrielle formatée selon les modèles occidentaux de développement : tout ce que en somme on porte au crédit de l’ère de Meiji.

L'ère meiji a vu le jour pour deux raisons majeur de moitié par la pression du monde environnant et d’une autre moitié par le souci d'accéder à un certain nombre de progrès techniques et scientifique et a certain aspect de la civilisation occidentale

Dans une histoire plus longue du pays meiji atteste d’une durable ambivalence du japon à l’égard des occidentaux

On peut aussi voir un développement de l’art japonais par le cinéma muet et ces benshis qui a rendu très célèbre le cinéma japonais, les américains se sont inspirés de ce cinéma japonais pour créer leur film et supplantent au fur et à mesure le cinéma japonais le rendent obsolète .

I) Avant ère meiji

Qui se douterait que le Japon, qui occupe aujourd'hui une place majeure dans le monde, était proprement inconnu des Européens avant les grandes explorations maritimes du XVIe siècle ? Le voyageur vénitien Marco Polo l'a évoqué par ouï-dire à la fin du XIIIe siècle et c'est en 1542 seulement qu'un navire portugais, accoste sur l'archipel. Son histoire est pourtant très similaire à celle des États européens. Avant l'ère Meiji, le Japon était un pays partiellement fermé,il était impossible de rentrer ou de partir sans autorisation sinon la peine de mort immédiate était appliqué, ceci était valable autant pour les Japonais que pour tout étranger. Mis à part certains voyages très officiels vers la Corée et la Chine, les seuls contacts avec les relations occidentales se faisaient à Nagasaki. Cet isolationnisme appelé sakoku a permis 250 ans de paix intérieure, de relative prospérité économique et a permis de perfectionner les arts; par exemple: les estampes japonaise destruction de la perspective de la renaissance, aplat de couleur, formation de la perspective par la lumière , on peut mettre en perspective Hergé le créateur de tintin qui a repris l'art de l'estampe japonaise de Hiroshige dans la bande dessiné “ l'île noire” qui nous montre l'œuvre

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