Synthèse des Travaux Personnels Encadrés

Synthèse des Travaux Personnels Encadrés

Avant même d’entamer l’un de nos premiers cours de TPE, qui était un exercice très diffèrent de ce que l’on aurait pu faire auparavant, dès l’annonce de nos encadrants j’ai pu en déduire que Mme xallait nous encadrer en SVT et Mme x dans la discipline du Baccalauréat anticipé : le Français.  A premier abord, cette combinaison était assez valorisante et significative car elle couplait la matière de notre BAC anticipé à une des disciplines dans laquelle nous avions le plus de repères en tant qu’élève de la section scientifique. De plus, ces deux disciplines m’inspiraient beaucoup et de vagues idées se dressaient déjà dans ma tête. Notre groupe s’est composé de façon très laborieuse, par manque d’affinité avec les nouveaux camarades de classe à qui nous étions confrontés, nous avons donc procédé à plusieurs modifications au sein du groupe pour en arriver à une constitution plus ou moins adéquate. J’ai donc travaillé lors de cette période avec mes camarades x et x.  En vue de rendre compte de manière fidèle et synthétique ce projet, il me doit de présenter les raisons de nos choix et le déroulement de la totalité de notre travail, puis de discerner le bilan personnel de cette expérience.

1. Les raisons de nos choix

La multitude de thèmes et de directrices afin de trouver un sujet nous a presque été inutile car chacun de nous avait déjà dressé une idée plus ou moins nette d’un sujet envisageable. Nous avons donc envisagé de faire un Brainstorming afin d’en tirer des idées précises. Pour moi la tâche a été d’une difficulté moindre, le mot « génétique » m’avait fait penser au mot « famille », et de là une nouvelle piste a vu le jour, je devais trouver un rapport entre la littérature et la « génétique », la répétition de ce mot a enclenché le mécanisme et une idée extraordinaire m’est soudainement venue. Pendant mes années de collège j’avais lu « La Fortune des Rougon » d’Emile Zola, et c’est de là où me vint l’idée de notre sujet : « La génétique selon Zola » qui collait parfaitement dans la bidisciplinarité. Cette idée de sujet qui me paraissait comme un coup de génie, n’hâtait pas l’un de mes camarades comme je le pensais. Il restait perplexe et décide de proposer le sujet de la synesthésie qui tout aussi intéressant mais trop simpliste pour x et moi. Nous avons donc consulté nos professeurs afin de nous éclairer, dès la formulation de mon sujet, j’ai vu des regards fiers et intéressés de mes professeurs référents qui avaient totalement adopté mon idée. Par majorité, « La génétique selon Zola » a été retenu comme sujet final malgré que notre camarade n’en fût toujours pas rassuré ; nous avons donc pris un certain temps pour le convaincre que le sujet avait une portée intéressante et que la problématique lui parlerait plus. Le cas des Rougon-Macquart était très attirant et nous donnait une envie d’en connaître plus sur eux. Au moins nous ne pensions pas manquer d’informations vu la taille de l’ouvrage de 20 livres qui nous attendait. La cause de leur folie et le fait que cette déficience mentale n’avait pas déteint sur la totalité de l’arbre familiale nous intriguait.

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