Ses la demande d'emploi

L’entrée sur le marché du travail

Je définie population active et le chômage doc 1 page 130

- Les actifs regroupent les personnes en emploie et celles qui en cherchent un.

-Le taux de chômage mesure le pourcentage de chômeur parmi les actifs (Personne ayant la capacité de travailler, salariée ou non, et qui, à la recherche d'un travail rémunérée, se trouve involontairement réduite au chômage).

Doc 1 page 128

Je défini le taux de chômage : le taux de chômage est le pourcentage des personnes faisant partie de la population active qui sont au chômage.

Taux de chômage= 2,8 millions de francais sont au chômage, le taux de chômage chez les personnes active de 15 ans ou plus sortant des études s’élève a 9,4% sur 100 personnes

Le taux de chômage diffère selon les situations :

-selon l’Age : les plus touché sont les jeunes car ils sortent des études ils ne trouvent pas forcément directement du travail. Les jeunes actifs (15-29 ans) sans qualifications sont les plus exposés au chômage. Leur taux de chômage est le plus fort (39,2 %)

-selon le type de contrat de travail il existe deux types de contrat de travail le CDD (contrat court qui s’arrête à une date fixée dans le contrat de travail) et le CDI (contrat de travail qui ne prévoit pas de limitation de durée). Evidement les personnes étant embauché à

Un CDD sont plus susceptible d’être au chômage.

Selon le niveau d’étude : plus on fait d’étude moins on n’a de chance d’être au chômage on peut voir ça grâce au tableau du doc 1 page 130. Le taux de chômage des non-diplômés est quatre fois supérieur à celui des diplômés d'un niveau supérieur à bac + 2

Relation entre niveau d’étude et emplois page 132-133

Acquérir un niveau d’étude élevé facilite l’entrée dans l’emploi : l’absence de diplôme est un handicap pour l’emploi. 9 diplômés sur 10 se mette en activité dans la vie active après moins de 6 mois qui précède leurs diplomations. Le fait de sortir de grandes écoles accélère donc le processus pour être embaucher. Même si le diplôme ne garantit pas complètement d’échapper au chômage, l’obtention d’un diplôme limite néanmoins le risque d’être au chômage

Acquérir un niveau d’étude élevé facilite l’accès a un contrat à durée indéterminé. Être titulaire d’un diplôme du supérieur limite la précarité de l’emploi et le temps partiel subi (Document 4). Un emploi précaire est un emploi dont la durée est limitée dans le temps. Il peut s’agir par exemple de contrats à durée déterminée (CDD)

Acquérir un niveau d’étude élevé facilite l’accès à un salaire élevé : le salaire dépend de la productivité qu’apporte un employé a son employeur. Il faut que le salaire payer pour 1h ne dépasse pas la productivité réelle de cette heure de travail car l’entreprise perd de l’argent. Il faut que la productivité horaire soit supérieure au salaire réel horaire. La poursuite d’étude joue un rôle déterminant dans la future rémunération et dans l’accès à l’emploi.

On peut dire que poursuivre ses études est un investissement en capital humain : oui car poursuivre ces études peut parfois être très long comme on le voit sur le tableau du doc 3 page 131 en 2014 la durée moyenne d’études estimée pour un enfant est de 5 ans. Plus ont poursuit d’étude plus on aura la chance d’avoir un meilleure post dans une meilleure boite avec un meilleure salaire sans doute donc on peut dire que cet investissement est rentable

Relation entre le niveau d’Etude et le niveau de salaire

Le niveau de salaire dépend du type d’emplois occupé, de la qualification de l’emploi

Un emploi très qualifié et très bien payé. D’ailleurs, les entreprises, qui savent que ces salariés sont particulièrement bien formés et efficaces, sont prêtes à faire des efforts en termes de rémunération pour les recruter.

Le niveau de salaire dépend de la qualité du travail réalisé, de sa productivité

La poursuite d’études entraîne une augmentation du capital humain et donc de la qualification. Cette hausse de qualification est synonyme d’une productivité plus élevée, qui facilite l’embauche par une entreprise. Les plus diplômés sont donc en mesure d’être plus efficaces lorsqu’une entreprise les recrute. C’est pour cette raison qu’un diplôme plus élevé permet d’espérer un salaire plus élevé. Plus précisément, l’entreprise n’acceptera d’embaucher un salarié que si le salaire qu’elle doit lui verser est inférieur à sa productivité.

Le niveau de salaire dépend de la rareté du travailleur plus un salarié a une ancienneté importante sur un poste, plus il en maîtrisera les enjeux, les gestes, les techniques, et plus il sera efficace.

Doc 2, 3 page 134

Le niveau de salaire dépend aussi de la taille de l’entreprise Souvent, les salariés ont tendance à préférer les petites entreprises, dans lesquelles, selon eux, le travail est moins pénible, la proximité avec l’employeur plus grande et où l’autonomie et les responsabilités du salarié sont favorisées. Face à ce défaut d’attractivité, les grandes entreprises proposent des salaires plus élevés et des carrières plus prometteuses.

Doc 4 page 135 Le niveau de salaire varie aussi selon le sexe du travailleur-se Le salaire est enfin variable selon certaines caractéristiques propres au salarié : le genre, la couleur de peau, l’origine géographique, le handicap ou certains attributs physiques (l’obésité par exemple). On observe alors un phénomène de discrimination : les recruteurs sous-estiment les compétences de ces salariés et ne les recrutent pas, ou bien les recrutent à un salaire moindre. Dans le cas des femmes, il en résulte qu’elles occupent des emplois moins valorisés, qu’elles ont du mal à accéder aux postes les plus prestigieux (le « plafond de verre ») et, qu’à qualifications égales, elles reçoivent souvent un salaire moins élevé que celui des hommes