Les moyens de transports automatisés dans notre quotidien

 Les moyens de transports automatisés dans notre quotidien[pic 1]

El Garti Ahmed

Betroji Jaafar

El Morabet Ouaïss

Sommaire

Introduction

1. Les moyens de transports automatisés : un futur proche parfait

1. Qu’est-ce qu’un véhicule autonome ?
2. Les avantages d’un véhicule sans chauffeur
3. Une voiture autonome : Google Car

1. N’est-il pas sans risque ?

1. Les inconvénients du véhicule autonome
2. Des modèles défaillants
3. La confiance est-elle totale ?

1. Un modèle à appliquer ?

1. L’idée
2. Les étapes de la réalisation

Conclusion

Sources

Introduction

Depuis ses débuts, l'Homme cherche à se déplacer. De 4 pattes, à 2 pieds, et enfin appuyé sur une canne, l'être humain a accompli un périple illustrant parfaitement celui des moyens de transport qu'il a développés tout au long de cette longue aventure, qui n'est pas encore terminée et qui s’en doute ne se terminera pas tant que l’être humain existe. Se déplacer est essentiel pour se nourrir, pour échanger, pour travailler, pour se rencontrer, pour se connaître et se découvrir, pour les pratiques de la vie quotidienne ou pour des loisirs. Pendant longtemps les déplacements se sont faits aux moyens d'animaux ou en bateaux. Aujourd'hui, les modes ont évolué. Ainsi, lors de ces derniers siècles, ils ont été révolutionnés par des inventions qui font partis aujourd’hui de notre quotidien. Les véhicules se transforment en objet autonome, intelligent et connecté.

Nous avons décidé de nous pencher sur ces technologies toutes fraiches car nous trouvions intéressant le fait d’étudier ces véhicules, leurs efficacités ou alors leur inefficacités. Ainsi ceci nous conduit à poser notre problématique. Peut-on faire confiance aux moyens de transports automatisés ?

Pour y répondre, nous allons dans un premier temps analyser le fonctionnement de ces véhicules ainsi que leurs avantages possibles pour la société, puis, dans un second temps nous allons nous demander si ils ne présentent pas de risques, et enfin nous verrons si il est possible d’appliquer un modèle inaltérable sur du long terme.

1. Les moyens de transports automatisés : un futur proche parfait

1.  Qu’est-ce qu’un véhicule autonome ?

Ces véhicules portent souvent les noms de « véhicule autonome », ou alors tout simplement «véhicule sans chauffeur ». Ces derniers sont capables de prendre le relais du conducteur ou permettre au conducteur de se déplacer sans conduire dans plusieurs circonstances. En ce qui concerne ces véhicules sans chauffeur, elles sont la prochaine étape en développement, et n’ont généralement pas de volants ni de pédales.  

Une voiture autonome, c’est une voiture qui se déplace toute seule ?

En effet, une voiture totalement autonome avance, adapte sa vitesse, freine devant un piéton qui traverse, s’arrête au feu, se gare, tout ça sans aucune intervention humaine.

Mais soyons précis, car il existe différents types de véhicules. Ils sont classés selon leur niveau d’autonomie, du niveau 0 jusqu’au niveau 5. Prenons l’exemple de la voiture :

Le niveau 0 est le plus simple : la voiture ne fait rien toute seule, le conducteur contrôle tous les paramètres de conduite comme l’accélération, le freinage et la direction. Il doit aussi veiller sur l’environnement autour de la voiture en permanence. Cela correspond aux anciennes voitures sans systèmes électroniques.

Au niveau 1, le conducteur peut déléguer certaines tâches au véhicule, mais uniquement dans un seul axe de direction, l’axe longitudinal, ou latéral. C’est le cas par exemple, du régulateur de vitesse où le conducteur confie l’accélération au véhicule, mais toujours sous sa supervision.

Les systèmes d’aide à la conduite se perfectionnent dans les véhicules de niveau 2, en contrôlant la voiture à la fois sur l’axe longitudinal et latéral. Par exemple, la voiture gère la vitesse et la direction pour se garer automatiquement .Ces systèmes sont devenus fréquents aux voitures actuelles. Mais attention, le chauffeur doit toujours garder un œil sur la route, prêts à intervenir.

Pour pouvoir quitter brièvement la route des yeux, il faut une voiture de niveau 3. Sous certaines conditions, comme l’embouteillage par exemple, le conducteur confi la surveillance de la route à un logiciel informatique, c’est un peu le cerveau de la voiture. La voiture avance toute seule, conserve les distances de sécurité, et reste sur sa voie. Le conducteur peut alors manger un sandwich sans trop prêter attention à la route. Mais attention, la voiture peut alerter à tout moment, il doit donc se tenir prêt à prendre rapidement le volant, si par exemple, le trafic s’améliore devant lui.

Au niveau 4, la voiture gagne encore en autonomie, à ce stade la voiture se débrouille vraiment toute seule. Le conducteur n’a plus besoin de surveiller la route et peut s’adonner pleinement à d’autres activités. Mais ce mode ne fonctionne que sur certaines routes comme des voies à chaussées séparées telles que les autoroutes ou les voies rapides, après avoir activé le mode autonome, la voiture adapte sa vitesse et se dirige toute seule. Elle prendra même la bonne décision en cas de danger, comme éviter une voiture qui s’arrête brusquement devant. 

[pic 2]

         Avec le niveau 5, la voiture est entièrement autonome quelques soient les types routes et les conditions météorologique.

      Avec cette voiture, on pourra non seulement se déplacer sur des voies rapides, mais aussi en ville avec des piétons, des cyclistes, et sans surveiller la route. Il n y a plus besoin de conducteur, et il n’y aura peut-être plus de volant.

1.  Les avantages d’un véhicule sans chauffeur

- Baisse des accidents causés par :

* l’endormissement du chauffeur : il n’y aura plus de conducteur.

* la lenteur du reflex du pilote : les réflexes de l’intelligence artificielle sont nettement plus rapides (quasi instantanés) que ceux des humains.

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