La place des enfants dans le monde

La place des enfants dans le monde

A) Longtemps les enfants n'ont bénéficiés d'aucune d'aide.

1ère partie : Aucune aide, l'enfant est livré à lui même dans un cas de maltraitance envers un mineur.

Tout d'abord, d'après une étude, nous pouvons constater que durant une très longue période les enfants n'ont bénéficés d'aucune aide en cas de maltraitance. Cela est du à l'abscence des droits de l'enfant en France. L'enfant auparavant, n'était pas reconnu comme un être humain, il était considéré comme un "objet". Aucunes lois, aucunes justices n'ont été créées avant le 19è siècle pour leur protection. Aucunes institutions n'ont été présentes pour défendre l'enfant en danger. Celui ci devait faire face à la situation seul. D'après les données d'un tableau créé par la protection de l'enfance entre l'année 1998 et 2006 en France métropolitaine. Un tableau de statistiques intitulé "l'évolution du nombre d'enfants signalés en danger et des types de mauvais traitements signalés" révèle l'importance des cas de maltraitance. En effet, on constate que durant l'année 1998, 1 900 enfants sont maltraités, 64 000 sont en risques et 83 000 cas ont été signalés. Cependant pendant l'année 2001, un ralentissement de la maltraitance est présente. La moyenne d'enfants maltraités à ralenti d'environ 1 000 enfants. Alors que au contraire, la moyenne d'enfants à risques à augmenté de 3 500. De plus, les signalement sont d'autant plus importants, 2 000 de plus. Puis en 2006, les enfants sont autant maltraités qu'en 1998, ils sont d'avantage en risque, c'est à dire 15 000 de plus. Les signalements se sont élevés à 98 000.

Dans un des livres que nous avons étudié, s'intitulant Vipère au poing écrit par Hervé Bazin. Il est paru en juin 1948. Dans ce livre, trois enfants sont maltraités par leur mère. Ils sont alors livrés à eux même car personne ne peut leur venir en aide. Nous pouvons repérer à la page 28 que les trois garçons sont autant victimisés mentalement que physiquement "Nous nous retrouvâmes par terre, giflés avec une force et une précision qui dénotaient beaucoup d'entraînements", page 47 "Elle sut nous tenir haleine, nous observer,  remarquer et détruire nos moindres plairs". Leur mère ne veut pas leur bonheur, elle les sous-estimes page 46 "Quel immonde enfant !" tout en lui mettant une gifle. Les jeunes sont innoncents face à la situation, page 62 "elle nous battait  jamais sans nous en donner les motifs", "sous les coups", "et me battit durant un quart d'heure, sans un mot, jusqu'à épuisement. J'étais couvert de bleus en rentrant dans ma chambre", page 81 "la gifle attendue, la gifle inévitable claqua", page 140 "Coup de pied au passage, dans le mollet", "Ferdinand sera fouetté. De plus il restera enfermé dans sa chambre pendant un mois. La mère n'arretait jamais de les battre, cela continuait sans cesse, page 142 "Ferdinand fut fouetté. Folcloche choisit une baguettede coudrier dans un massif et l'offrit à l'abbé avec mission d'en zébrer les fesses du condamné.", "Et nous pûmes entendre des hurlements". En conséquence de toutes ces maltraitances, premièrement, leur mère est detestée de ses enfants mais de plus le plus jeune des trois s'est enfui de son domicile pour en finir avec cette souffrance interminable. Il à décidé de partir à Paris mais son père était venu le rechercher. Il avait alors demandé de partir à l'internat de son collège pour ne plus avoir à supporter sa mère et sa violence. C'est grâce à cela que cet enfant à réussi à se sortir de cette agressivité. Cependant cette situation à eu des changements sur son comportement, il est devenu mygosyne "L'hygiène publique a inventé les crachoirs comme Dieu a inventé les femmes. La pureté n'exige pas la rétention, mais l'exutoire.", "Tu n'es qu'une femme, et toutes les femmes paireont plus ou moins pour toi." Il les considère comme un objet sexuel, page 215 "J'ai préparé l'endroit, déblayé le terrain, équitablement réparti les aguilles. Elle n'a qu'à s'asseoir. Et à sourire", "Mais celle-ci qui se débat un peu sous ma serre, je te jure qu'elle ne méchappera pas.", puis pour finir, à la page 217 "Je ne suis pas un jeune homme qui se touche. J'ai une fille à ma disposition, moi." A l'époque, avant la naissance des institutions et des droits de l'enfance, les enfants sont livrés à eux même, elle ne peut se confier à personne. Soit les enfants s'en sortent seuls par leur propre moyens, par exemple en prenant la fuite. Soit ils sont confrontés à ce problème toute leur vie, ce qui amène parfois malheureusement au suicide.

B) Une protéction récente, évolution des droits de l'enfant

Seulement à partir de  1989, la France à signé la Convention des droits de l'enfant. Par la suite, des lois ont enfin été votées pour la protection de l'enfant. La loi du 10 juillet 1989 permet à la vitctime d'avoir le droit de faire justice et d'être entendu par un tribunal. Ce qui n'était cependant pas le cas avant le passage de cette loi. D'autres lois ont été votées durant cette même année pour qu'un mineur puisse être entendu par les juges. Seulement à partir du 20è siècle l'enfant à été reconnu par l'Etat comme un humain à part entière. La loi de la création de l'aide sociale à l'enfance à été votée en 1945, c'est grâce à celle-ci que la protection de l'enfance en France est née.

En 1995, le jour du 20 novembre à été dédié à “La journée nationale de défense et de promotions des droits de l'enfant.” Cette décision à été prise par le parlement Français.  Des institutions sont alors intervenues à ce moment.

Lors de l'année 2003, à été prévu la lutte contre l'exploitation de l'enfant au travail. En effet, l'ONED, c'est à dire l'Observatoire National de l'Enfant en Danger à été créé lors du 2 janvier 2004. C'est effectivement une évolution très récente. Le passage de la loi du 5 mars à été très important et très marquant pour l'aide aux mineurs. Cette loi a permise d'améliorer et de renforcer la législation de la protection de l'enfance grâce à la rédaction de quarante articles. Celle-ci permet de prévenir le président du Conseil Général. L'enfant peut alors se faire entendre au tribunal avec ou sans la préscence d'un accompagnateur. Elle instaure aussi le secret professionnel. La personne qui écoute l'enfant parler de sa situtation se doit de ne rien révéler à quiconque. Par exemple le premier article précise que même un enfant de moins de dix-huit ans doit être considéré comme tel, comme ses pairs même s'il n'est pas majeur :

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