La dépression chez les enfants
TD : La dépression chez les enfants. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar OlympeIsak • 30 Septembre 2018 • TD • 2 759 Mots (12 Pages) • 620 Vues
« Chaque écrivain, chaque poète, cherche à ce que leur texte nous plaisent pour qu’il y est un impact sur nous. Ils ont chacun leur méthode pour que nous les écoutions. » Nous allons y regarder de plus prêt.[pic 1]
Francis Bacon a dit :" La lecture apporte à l'homme plénitude, le discours assurance et l'écriture exactitude."
Le sujet de cette dissertation est « En vous appuyant uniquement sur les œuvres et extraits étudiés en classe ainsi que sur les textes du manuel de français, vous vous demanderez si un texte doit chercher à plaire pour que son argumentation soit efficace ».
On nous demande si une œuvre doit forcément plaire aux lecteurs. Est-ce que même si l’œuvre est plaisante, son argumentation sera efficace ou bien sommes nous sûr qu’il n’existe aucun autres moyens que pour son argumentation soit efficace.
Pour répondre à tout cela, nous allons étudier cela en détaille grâce à un plan. Tout d’abord, nous allons aborder : une vision du monde avec le conte philosophique, le registre fantastique et le registre épique. Ensuite, nous étudieront : l’argumentation directe et indirecte avec le dialogue d’idée, l’utopie et la fable. Pour finir, nous allons abordés : persuader et convaincre avec le registre élégiaque, et dénoncer la guerre.
Tout d’abord, pour pouvoir étudier la vision du monde nous allons utilisés le conte philosophique, est un récit plaisant qui aborde des questions abstraites. Dans « Candide » de Voltaire, il réfute l’optimisme philosophique en montrant la violence et la cruauté du monde avec le chapitre sur la guerre contre les Bulgares. Car les soldats sont considérés comme des insectes, des pions sur un échiquier que les généraux déplacent, les pertes ne sont pas graves et la guerre est comparée à un orchestre. A la fin, il remercie Dieu pour leur avoir permit de tuer au tant de personnes. Dans l’Eldorado, Voltaire crée un conte pour enfant avec le merveilleux, la paix mais cette utopie est aussi utilisée pour pouvoir critiqué la société du XVIIIe. Il crée une utopie politique, avec une monarchie libérale, qui favorise la libre expression qui est contraire à la société actuelle ou Voltaire écrit. Il critique le Roi car dans cette utopie le Roi est à l’écoute de son peuple sans faire de distinction sur leur rang social ou de pensée contrairement au Roi de la société à l’époque qui divisé tout le peuple. IL le critique aussi car dans son utopie le roi n’est pas un souverain autoritaire, le peuple ne doit pas faire de prosternation devant lui, le peuple est immédiatement reçu dés qu’il demande audience. Son système repose sur la tolérance et légalité de tous. Le Roi invite toute personne à sa table sans faire encore une fois distinction du rang social. Il n’utilise guère la tyrannie sur ces sujets. Nous pouvons voir que c’est utopie car il n’y a ni palais de justice ni prison. Avec cette utopie, Candide crée l’inverse de la société dans laquelle il vit ou tout le monde pourrait être heureux et ne pas craindre la fureur du Roi. Dans son œuvre Voltaire utilise souvent le ton ironique pour pouvoir établir une connexion avec son lecteur. Mais il l’utilise aussi souvent pour faire réfléchir le lecteur. Comme avec son chapitre sur l’esclave de Surinam, il l’utilise pour présenter les mutilations comme une banalité, aussi avant le contraste fait entre la souffrance des esclaves et le plaisir des Européens avec le fait que nous pouvons manger du sucre grâce à eux alors qu’eux sont battus et maltraités. De plus, il souligne aussi l’absurdité et l’hypocrisie du discours chrétien, car l’église prêche quelque chose mais elle fit tout le contraire. Candide utilise la forme de conte pour plaire aux lecteurs mais surtout le fait que Voltaire crée un lien avec le lecteur. Nous pouvons penser que grâce à l’ironie, le lecteur est plus en confiance et prêtera plus attention à ce que dit Voltaire mais il peut y avoir des gens que ne verront attention à rien car ces mots sont assez violents à certains chapitres mais nous pensons que l’aspect conte y est pour beaucoup dans l’écoute du lecteur à l’écrivain.
Ensuite, nous allons voir le registre fantastique sur une œuvre. Nous allons pour cela prendre « si c’était un homme » de Primo Levi. Le registre fantastique provoque la peur, l’angoisse ‘ mais comme Renzo s’attardait un peu trop à dire adieu à Francesca, sa fiancée, d’un seul coup en pleine figure ils l’envoyèrent rouler par terre’.Il se caractérise aussi par un bouleversement des perceptions habituelles du monde, il désigne aussi l’irruption d’un phénomène inexplicable dans la réalité quotidienne : son arrivée au camp et la froideur du camp. C’est une hésitation du lecteur entre une explication rationnelle et explication irrationnelle du phénomène. Cela crée une complicité avec le lecteur car il attend la fin de cette horreur que l’écrivain est entrain de vivre. Quand le narrateur est l’écrivain cela incite le lecteur à adopter le point de vue du personnage et à s’identifier à lui. Pour que les lecteurs voient que l’histoire est réal, l’écrivain utilise des détails précis ‘En un instant, le quai fourmillait d’ombres, mais nous avions peur de rompre le silence et tous s’affairaient autour de leurs bagages, se cherchaient s’interpellaient, mais timidement, à mi voix.’
La dureté de l’histoire, donne au lecteur une envie de protéger ce jeune homme mais surtout de voir comment il a survécu à cet enfer. Le lecteur peut s’identifier à lui, s’il a connu la même chose que lui et aidé la génération future. Pour faire un lien avec le paragraphe suivant nous pouvons dire que Primo Levi est un héro non pas avec des supers pouvoirs mais avec sa force mentale.
Pour finir, nous allons étudier le registre épique, avec « Les Misérables ». Le registre épique est une caractéristique de l’épopée qui est un récit des exploits guerriers de héros exceptionnels, aidés par des puissances surnaturelles. Cela impressionne le lecteur, suscite l’admiration voire la fascination du lecteur devant des personnages surhumains. Ce registre utilise des procédés d’amplification qui permettent de caractériser la puissance des guerriers : L’amplification épique apparaît dans le tableau final qui fait passer le lecteur d’une scène terrestre à une scène céleste. Le regard se porte au loin sur une nuit « sans étoiles et profondément obscure » et le lecteur assiste à la vision merveilleuse d’un être surnaturel à l’attitude solennelle et symbolique : un « ange immense debout, les ailes déployées ». Il utilise aussi des antithèses qui soulignent les oppositions entre le héros et ses adversaires : Hugo donne à l’antithèse « jour »/« nuit » une valeur symbolique, presque religieuse (« apocalypse », « âme ») : pour lui, le monde est divisé en deux principes qui se livrent un combat de tout les instants : « l’obscurité » représente l’inconnu, l’ignorance, mais aussi le mal qui règne dans le monde ; la « clarté » représente la connaissance, mais aussi le bien. Dans ce livre, des lecteurs peuvent eux aussi s’identifier aux personnages comme pour les femmes à Fantine et à sa condition d’ouvrière dans cette société. Ce livre nous éduque avec les différentes histoires des personnages.
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