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DISSERTATION N*1

Quand on énonce le mot « poète » on pense la plupart du temps à un être isoler, à part, « dans sa bulle » ou aussi à une personne en souffrance, mal comprise, Aujourd'hui on désigne même quelqu'un de « poète » comme quelqu'un distrait, ailleurs, dans la lune,Mais sont-ils vraiment tous à l'écart de la société ? Sont-ils préoccupés seulement par les jeux de langages ? Nous tenterons de résoudre ces interrogation en examinent les deux aspects en commençant par le poète enfermé dans sa tour d'ivoire

En effet, L'OU .LI.PO, constitue sans doute le mouvement poétique du XXème siècle qui illustre le mieux l'intérêt que les poètes peuvent porter aux jeux de langage, Ainsi Raymond Queneau, dans ses Cent mille milliards de poèmes ? S'appuie sur une formule mathématique pour générer un nombre astronomique de sonnets, qui tous seront lisibles. D'autres auteurs, comme Georges Perec, fabriquent des lipogrammes ou jouent avec le dictionnaire pour réécrire des poèmes existants. On voit bien la préoccupation de ce genre de poètes : produire un ses nouveau à partir de contraintes d'écritures.

Pour compléter l'idée du poète enfermé dans sa tour d'ivoire nous allons explorer l'idée de retrait, de l'isolement du poète. Certains poètes témoignent de cette volonté de retrait du monde comme Alphonse de Lamartine, poète Romantique née en Octobre 1790, dans L'isolement lui même tiré des méditations poétiques, fait part de son désir de rejoindre sa bien-aimée, partie trop tôt. Loin de toute préoccupation sociale ou politique, le poème élégiaque renforce la vision d'un homme à l’écart du monde.

De plus, une autre idée qui complète la thèse du poète solitaire est l'hermétisme très bien illustrée dans le poème de Stéphane Mallarmé Sonnet en yx paru en 1899, le sens est vraiment abstrait, très sombre, très obscure. On peut y discerner autant de sens qu'il y a eu de lecture à ce poème

Pour finir avec la thèse du poète solitaire, j'énonce le rejet de la société subit par les poètes. Depuis le XIXeme , les artistes restent en marge par rapport à la nouvelle société qu'ils refusent. En effet, la modernisation au cours du siècle a été telle que les artistes perdent leurs repères. Ils sont marginales, en divorces de la société. Plusieurs artistes témoignent de cette injustice. La discordance entre l'individu et le monde, qui crée ainsi le mythe d'un "mal du siècle", d'une mélancolie du moi. C'est le romantisme. Il y a Charles Baudelaire qui inscrit ce sentiment d'exclusion de cette société dans L'Albatros ou dans le poème en prose. Enfin Théophile Gautier résume

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