Un départ sans retour
Synthèse : Un départ sans retour. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar TITI71111 • 21 Décembre 2020 • Synthèse • 1 107 Mots (5 Pages) • 483 Vues
UN DEPART SANS RETOUR
Lors de cette escapade loin de ma famille et à l’écart de cette démocratie, je par sur un endroit méconnu de la planète.
Je suis un homme jeune d’une vingtaine d’année, un mètre soixante-dix-neuf, le nez arqué, le front droit et les joues saillante ;diplômé du BTS Travaux Publics au Lycée les Marcs d’Or. J’habite avec ma copine elle aussi âgée vingtaine d’année dans un appartement de 80m² située au cœur de Dijon. J’ai commencé travailler dans une entreprise de Travaux Publics à Dijon en tant qu’assistant chef de chantier. Quelque mois plus tard ma tête pense sans arrêt et je réfléchis à longueur de journée. J’ai l’impression d’être un robot dont le seul rôle est d’exécuter les ordres. Suite à cette réflexion je décide de prendre mon envol et de partir. La question est de savoir où et comment. Ce soir au lieu de rentre à la maison, je vais à la gare. Une fois arrivé dans cet endroit bondé, je tire un numéro, le 68. En levant la tête je m’aperçois que je ne suis pas près de passer. Oppressé, j’étouffe. La pression monte et je double tout le monde, devant ce guichet horrible, d’une couleur morte je pose mes coudes et je demande au guichetier un voyage le plus loin possible. Ce lui ci me propose un voyage pour le sud de l’Italie, ce périple comporte plusieurs correspondances. Je rentre chez moi et je n’en parle à personne. Le lendemain, vendredi, le réveil sonne il est 7h20. Je me lève avec l’angoisse d’aller au travail mais je sais que ce jour sera le dernier. J’arrive sur le parking du dépôt puis je suis mon chef de chantier. Il me décrit la journée que nous allons suivre : le matin réunion de chantier puis l’après midi visite d’un chantier. La journée se termine et je rentre chez moi.
Lundi matin le réveil sonne et je me lève heureux c’est le moment pour moi de partir loin. Mon cœur se serre un instant a celle que j’abandonne puis j’attrape deux trois habits, mon CV, mon passeport et ma carte bleue. Le départ est prévu pour 8h45. Je valide mon billet et je monte à bord du train. Première correspondance à Lyon, je reprends un second train pour Milan. L’arriver est prévue pour 15h58. Je m’installe et une personne se met à côté de moi. Un homme, grand, une longue barbe et plutôt sociable. Le long de cette correspondance je décide de lui parler, il me répond gentiment. Je lui demande donc où va-t-il et me dit je vais à Tarente. Cet endroit est celui ou je vais aussi. Le train arrive en gare à Milan et j’attends mon troisième correspondance pour Tarente. Ce trajet va être long car il dure plus de quatre heures trente. Malheureusement en regardant sur l’écran de la gare il est annoncé avec trente minutes de retard. Je regarde mon téléphone et je vois qu’il me reste plus que trois pourcents de batterie. A ce moment la je me dis que le trajet sera très long. L’homme avec le quel j’ai discuté dans la correspondance précédente n’est plus dans la gare. En regardant autour de moi je vois un homme qui travaille dans cette gare et je lui demande à quelle heure arrive la correspondance pour Tarente. Cet homme me répond froidement : il arrive dans quinze minutes. Tout à coup une coupure de courant se déclenche, le monsieur avec le quel je parlais est parti et je suis donc seul. Je n’ai plus de batterie dans mon téléphone. Je ne sais même pas quelle heure il. Je suis perdu. Un train arrive, je crois que c’est le mien et je monte à bord. Je m’installe mais rapidement un sentiment de solitude s’installe. Je regarde autour de moi et je ne vois personne. Les portes se ferment et je n’ai pas le temps de faire marche arrière. Je deviens fou, je ne tiens plus en place, je tourne je vire dans tout se train, d’une longueur sans fin. Je décide de descendre au prochain arrêt.
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