SES- Bac Blanc
Étude de cas : SES- Bac Blanc. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ilyes Arbaoui • 18 Avril 2017 • Étude de cas • 1 418 Mots (6 Pages) • 974 Vues
Arbaoui SES
Première Partie
1) La famille a un rôle socialisateur important envers l’enfant du fait de son omniprésence. Mais ce n'est pas la seule instances de socialisation. Dès le plus jeune âge, l’école est une instance centrale de socialisation primaire, ce n’est pas seulement par les connaissances qu’elle transmet, c’est aussi parce que l'enfant rencontre des pairs qui vont avoir une influence sur la socialisation. Ces pairs transmettent un ensemble de normes et de valeurs qui vont être rapidement intériorisées par l’enfant qui veut appartenir au groupe. Alors la famille et l'école sont des instances de socialisation complémentaire car la famille et l'école offrent à l'enfant des normes et valeurs communes comme le respect, le savoir-vivre etc. Ces deux instances de socialisation peuvent rentrer en concurrence les unes avec les autres et même se contredire comme par exemple les familles populaires n'en pas forcément un capital culturel qui correspond à celui qui est appris par l’école (ex : langage) cela peut avoir un impact sur la réussite scolaire.
2) La socialisation varie selon le genre. Les garçons et les filles sont élevés de manière différente à cause de certains stéréotypes fabriquée par la société. Par exemple lorsqu’un petit garçon tombe on va le relever et lui dire de ne pas pleurer, alors que la petite fille sera consolée et cajolée. Tout cela est dû au fait que la société considère que les garçons doivent être forts et ne pas se plaindre.
On retrouve cette différence de genre dans les jeux pour enfants. En effet un garçon va plutôt jouer aux jeux de voitures tandis qu'une fille va préférer jouer à la poupée. Cela est aussi dû à l'imitation des comportements des parents.
Mais la socialisation varie notamment selon le milieu social d'appartenance, car l'habitus varie selon la personne. En sociologie, l'habitus est la manière d'être, l'ensemble des habitudes ou des comportements acquis par un individu, un groupe d'individus ou un groupe social. Ce concept sociologique est défini par Pierre Bourdieu. L'habitus est influencé par le milieu social où l'individu évolue (les goûts, les manières de penser, d'agir …)
Deuxième Partie
Ce document mis à notre disposition est un tableau proposée par l'Insee
afin de présenter la consommation des ménages en transport en France entre 2000 et 2012 mesurée en milliards d'euros et en pourcentage pour la dernière ligne qui correspond à la part du transport dans les dépenses de la consommation des ménages. Les dépenses de consommation des ménages en transports incluent : l'achat de véhicule, les dépenses d'utilisation des véhicules et les services de transports.
On peut voir qu'entre 2000 et 2010 les dépenses de consommation des ménages en transports sont passées de 116 à 152 milliards d'euros, cela est dû au service de transport qui a quasiment doublé en 10 ans, il y a aussi une légère augmentation aux dépenses pour l'achat des véhicules qu'ont augmenté de quelques milliards d'euros, mais les dépenses d'utilisation des véhicules ont amplifié de plus de 10 milliards d'euros. On aperçoit qu'entre 2010 et 2011, une hausse de 10 milliards d'euros sur les dépenses de consommation des ménages en transports, dû à une légère hausse de dépenses d'achat de véhicules qui va s’accroître de 2 milliards d'euros en seulement 1 année et une augmentation de 5 milliards d'euros pour les dépenses d'utilisation des véhicules, mais pour ce qui est du service de transports, environ 1 milliards d'euros en plus, en 1 an. Enfin entre 2011 et 2012, une baisse de 1 milliard d'euros sur l'ensemble de la consommation des ménages en transports, l'augmentation d'1 milliard d'euros en d'utilisation des véhicules et d'1 milliard d'euros dans les services de transports va compenser la perte de 3 milliards d'euros dans l'achat de véhicules.
Entre 2000 et 2012, la dépense dans les transports des ménages v va se multiplier de 1,4% en 12 ans, cela peut paraître peut mais cela représente une augmentation de 43 milliards d'euros. Principalement causée par la dépense d'utilisation du véhicule qui s'accroît d'environ 30 milliards d'euros, juste après, c'est les services de transports qui s'élèvent à 10 milliards d'euros et enfin, seulement une augmentation minime de 3 milliards d'euros en 12 ans dans l'achat de véhicules mais qui a connu des évolutions positives et négative durant ces 12 années contrairement aux autres dépenses qui ont fait qu'accroître en 12 ans.
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