Marché d'organe

Le document que nous allons étudier est un discours de Xavier de la Vega publié par les sciences humaines en janvier 2009. Ou il dénonce les problèmes du don et du marché d’organe. Dont la proposition du prix Nobel d’économie Gary Becker qui propose de payer les donneurs afin d’accroître l’offre des reins. Cela est un sujet qui va suscité un débat enflammé aux États-Unis.

Comme nous pouvons le voir dans le discours de Xavier, le don d’organe à des difficultés à évoluer, malgré les progrès de la médecine le don d’organe ne suit pas, pour de nombreuse cause. Le nombre d’offreur est inférieur aux nombre de demandeur ( famille n’autorisant pas le prélèvement d’organe sur le défunt ;Assurance vie, etc.), mais le nombre de cadavre n’est pas la seul cause, reste les donneurs vivant mais malheureusement, ils ne sont pas nombreux. Ces causes ont crée des dégâts irréparable aux États-Unis, je cite « On estime à 3 500 le nombre de patients américains qui meurent chaque année faute d’avoir reçu un rein à temps »

Une solution à était proposé par G .Becker et de J.J Elias, celle de fonctionner dans la logique libérale, la puissance du marché qui tient en grande partie à la capacité d’inciter les membres d’une société a satisfaire les besoins des autres, sans faire appel à leur vertu. C’est à dire de crée un marché d’organe, qui s’effectuera avec un échange entre les demandeurs et les offreurs, entre les donneurs et les patients. D’après Xavier de la Vega, cela suffira toujours à convaincre un nombre suffisant de donneurs, ainsi avec le coût d’un organe qui va jusqu’à 15 200 $, le nombre de transplantation aurait pratiquement doublé.

Mais pas tout le monde pense que cette proposition est la bonne solution. La grande majorité des pays n’ont pas accepté cette proposition et autorise les transplantation que si elles reposent sur le don, on évoque cette idée (marché d’organe) de négocier le corps humain comme une marchandise, et cela fait l’objet d’une véritable « répugnance » ce qui vas amené a de nombreuse transactions interdites, considéré elles aussi comme « répugnante ». Seulement quelques États ont autorisé la vente d’organe ( l’Inde et l’Iran). De plus cela va crée l’existence d’une compensation monétaire qui peut décourager les dons de sang, ainsi que de ne pas donner en quelque sorte le choix a certain individus, plus précisément aux plus démunis. Ces derniers confronté a une proposition d’échange entre un organe et 15 200 $, ne pourraient refuser

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