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Corentin kovacs CO silicon valley

Dans cet vidéo qui date du 05/01/19, le sujet principal sera les travailleuses nées à l'étranger dans la silicon valley.

Pushpa Ithal peut ne pas correspondre au stéréotype du PDG typique de la Silicon Valley - elle est une femme, née à l'étranger et une mère. Ithal est une entrepreneuse, vivant le rêve de la Silicon Valley de diriger sa propre startup. Comme elle, de nombreuses femmes nées à l'étranger trouvent une place dans la vallée - car que les entreprises technologiques sont devenues de plus en plus dépendantes des travailleurs nés à l'étranger pour créer leurs produits et services.

La Silicon Valley, le centre mondial de l'innovation de haute technologie, pourrait être rebaptisée «Immigrant Valley». En ce qui concerne les talents techniques, la Silicon Valley est alimenté par des travailleurs nés à l'étranger, dont beaucoup sont issus de racines modestes. Et après avoir travaillé dur pour arriver ici, beaucoup ont des ambitions au-delà de leur travail quotidien comme crée leur startup.

Le dimanche, elle et ses deux enfants, âgés de 5 et 10 ans, choisissent les vêtements que les enfants porteront la semaine à venir. Chaque tenue est placée sur un cintre étiqueté. Ensuite, elle fait de même avec les collations de la semaine. "Il n'y a donc pas de surprises pour les enfants", a déclaré Ithal.

Être organisé est l'une des stratégies d'Ithal pour jongler avec la famille et gérer sa propre startup. que cela soit courant dans la Silicon Valley, Ithal fait partie d'un club distinct - les femmes nées à l'étranger dans la technologie. Originaires de pays comme l'Inde et la Chine, ces femmes représentent la majorité de toutes les femmes dans certains domaines de la Silicon Valley et sont souvent les seules femmes dans les équipes masculine dans les entreprises technologiques. Leur unicité ne s'arrête pas là.

Né à Bangalore, en Inde, Ithal a travaillé pour de grandes entreprises technologiques et des startups. Son mari, également indien, a bâti des startups prospères. Créer sa propre entreprise.

Selon le Silicon Valley Institute of Regional Studies, plus de 60% des travailleurs de la technologie dans les comtés de Santa Clara et de San Mateo, qui abritent Google, Facebook, LinkedIn  américaines, sont des immigrants. Les immigrants travaillent à tous les niveaux de l'industrie. Beaucoup sont des cadres, des fondateurs d'entreprises et des capital-risqueurs.

Mais les femmes nées à l'étranger se démarquent. Dans une industrie où les femmes représentent environ 20 pour cent de la main-d'œuvre technique.

Près des trois quarts de toutes les femmes en pleine année de travail et dans les professions techniques de la Silicon Valley sont nées à l'étranger, selon l'institut. En informatique et en mathématiques, les femmes nées à l'étranger représentent près de 80% de la main-d'œuvre féminine.

"J'ai revérifié, triple-vérifié le numéro juste pour m'assurer qu'il était bien réel", a déclaré Massaro.

Beaucoup de choses contribuent à ce que les femmes nées à l'étranger dominent la technologie - le manque de femmes à la recherche d'une éducation technique aux États-Unis, et l'accent mis sur l'éducation technologique pour les filles dans d'autres pays, beaucoup considérant les compétences techniques comme un chemin vers l'indépendance financière et peut-être un visa de travail aux États-Unis.

Massaro a trouvé quelques autres surprises - 71% des travailleuses technologiques nées à l'étranger âgées de 25 à 44 ans sont mariées, contre 39% des travailleuses technologiques nées dans le pays.

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