Les inégalités des richesses
Cours : Les inégalités des richesses. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar subiegang • 12 Octobre 2015 • Cours • 647 Mots (3 Pages) • 777 Vues
Chapitre 13
Les inégalités de richesses au niveau mondial
La croissance au niveau d’un État se traduit habituellement par une augmentation des revenus estimés sur l’ensemble de la population. Au niveau mondial, la croissance se traduit par une aggravation des inégalités entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres. Si certains pays émergeants semblent confirmer une phase de rattrapage des pays avancés, d’autres classés comme PMA (Pays les Moins Avancés) restent encore en dehors de l’augmentation de la richesse mondiale.
- Les inégalités entre les pays riches et pays pauvres
- La division entre pays riches et pays pauvres
La pauvreté dans les pays pauvres se traduit par la non satisfaction des besoins primaires qui conduit souvent à la mort par mal nutrition. Selon l’ONU, une personne dans le monde meurt de toutes les 5 secondes de mal nutrition. L’un des grands enjeux sanitaires des PMA est l’éradication de maladies endémiques tels que le choléra, le paludisme, ou la fièvre jaune. Les principales conséquences de la pauvreté sur les populations de PMA sont mal nutrition, espérance de vie réduite et analphabétisme ; plus de 50% de la population mondiale vivent avec moins de 2$/jour. Il y a actuellement 1,5 milliards de personne qui vie avec environ 1$/jour.
- L’évolution des inégalités
Bien qu’il soit difficile d’apprécier statistiquement la pauvreté, on constate un recul réel de la pauvreté, mais avec des variations sur un ratio de 1 à 8. Il y a une recul très fort de la pauvreté en Asie du Sud-Est et une diminution de la pauvreté très faible en Afrique Sub-Saharienne.
- Le décollage économique des pays émergents
Les enre
- Le rattrapage vers les pays développés
- La croissance des pays émergents
Les économies des pays émergent et des en développement assurent actuellement plus de la moitiés de la production mondiale, cette part devrait représenter 65% du PIB mondial en 2030. Ce recentrage du pouvoir économique correspond a un basculement du centre de gravité du monde, qui se traduit part, d’une part, une accélération et une augmentation du volume d’IDE en provenance de ces pays vers les pays actuellement riches et, d’autre part, par de nouvelles aspirations et ambitions notamment politiques et en terme de représentation dans les instances internationales.
- Les gains de productivité des pays émergents
Les pays émergents combinent à la fois des gains de productivité importants et des salaires plus faibles que ceux des pays développés. Cette amélioration de la productivité provient des effets du progrès technique. Les pays émergents tirent d’avantage de l’amélioration de la productivité de leur travail qui favorise leurs exportations vers les pays développés et les ménages des pays riches bénéficient d’importations moins couteuses qui améliorent ainsi leur pouvoir d’achat.
- L’ouverture des économies
Les pays émergents à l’image de la Chine sous l’impulsion en 1989 de son premier ministre Den Xiaoping engage des réformes pour ouvrir et libéraliser leur économies autant en interne que dans l’ouverture au marché mondiaux. Les entreprises de pays émergents sont de plus en plus présentes dans la globalisation financière au travers d’investissement internationaux. Ces investissements prennent la forme de prise de participation, d’acquisition d’entreprise de pays développés ou encore d’encouragement des investissements étrangers. Ce mouvement a été rendue possible par les entrées financières des entreprises qui ont tiré partie de l’augmentation graduelle des courts de matière première du pétrole et d’autre part de la performance des marchés boursiers jusqu’à l ‘été 2008.
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