La fragmentation des chaînes de valeur
Discours : La fragmentation des chaînes de valeur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar noablume • 10 Février 2022 • Discours • 1 001 Mots (5 Pages) • 1 042 Vues
La fragmentation des chaînes de valeur est elle compatible avec l’urgence écologique ?
introduction :
Pendant 1 semaine le canal de Suez à été bloqué par un navire, interrompant 12 % du commerce mondial dû à la fragmentation des chaînes de valeur. Mais le commerce international à de grave conséquences sur l’urgence écologique à laquelle nous devons faire face aujourd’hui.
La fragmentation des chaînes de valeurs sont les différentes étapes de la conception d’un produit divisés en plusieurs pays. De la conception à la commercialisation
Jouant un rôle majeur dans la mondialisation, elle sert à augmenter les gains de productivité, accroître la compétitivité des entreprise et proposer des prix plus faibles à une plus grandes variétés de biens.
l’ensemble des filiales à l’étranger des FMN françaises en 2018 est de 45,5 milliers.
Mais depuis les années 1970 après l’ère industrielle, la question environnemental est vite devenu source de problème. Nous somme désormais en urgence écologique, ce qui désigne le réchauffement climatique planétaire dû à l’activité de l’être humain. C’est un problème majeur qui est au cœur de l’actualité et appelle une mobilisation immédiate. Ce qui nous amène à nous demander si la fragmentation des chaînes de valeur est-elle compatible avec l’urgence écologique ?
Plan :
I_ Les transports
II_ faut-il relocaliser ?
III_ Les solutions (taxe carbone, réglementation, marché de quotas…)
taxation, il faut que le prix des biens reflètent le cout environnemental,
production locale = faire moins chère
donner le véritable prix des biens qui sont importés, production locale plus compétitive
crise éco les émissions de co2 ont diminué car moins de commerce internationale
I_ les transports
Les émissions d’effet de serre dû au commerce internationale représentent 10 % des émissions de co2
Les flux d’échanges doivent être supportés par des infrastructures de transport permettant aux biens de circuler a partir d’une origine vers une destination
- transport aérien : Est apparut en 1952 au Royaume-Uni comme premier moyen de transport commercial
La croissance du commerce internationale à engendré une croissance du trafic aérien
avec plus d’1/3 du transport aérien utilisé dans le commerce mondiale.
Même si c’est le transport le plus rapide, c’est également le plus pollueur avec environ 670 - 3 170g d’émissions de CO2 par tonne/km
- transport maritime : Avec l’apparition des portes container en 1950, permettant de transportés jusqu’à 21 milles conteneurs aujourd’hui, c’est un atout principale dans le commerce car il est peu coûteux, et à une grande capacité de stockage.
Des routes maritimes ont été développés comprenant les fleuves, les canaux et détroits. Avec l’évolution les navires sont de plus en plus gros, et des aménagements ont eu lieu au sein des ports et détroit (comme celui de Panama en 2015) afin d’avoir des infrastructures plus performantes, et ainsi pouvoir recevoir plus de marchandises.
Mais c’est tout de même un moyen de transport
contre 33,6% pour le fret maritime.
"Les voitures qui parcourent 15 000 km par an émettent approximativement 101 grammes d'oxyde de soufre pendant cette période", écrit le Guardian, contre "5 200 tonnes" pour les plus gros navires de la planète qui, eux, "opèrent environ 280 jours par an".
Le souffre est une pollution aussi dangereuse
- transport terrestre
comprend les trains, voitures, camion
60-120g d’émissions de co2 en tonne/km pour le transport routier des camions et 2-35g pour le transport par rail
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