DE LA VALEUR AJOUTEE A LA REPARTITION PRIMAIRE DES REVENUS.

SYNTHESE 1 : DE LA VALEUR AJOUTEE A LA REPARTITION PRIMAIRE DES REVENUS.

Compléter avec les mots suivants : capital ; du capital ; investissement ; du travail ; inégalités de revenu ; partage de la valeur

ajoutée ; patrimoine ; pouvoir d'achat ; production ; propriété ; revenus mixtes ; revenus primaires ; revenu supplémentaire ;

salaires ;valeur ajoutée ; 1959-1983 ; travail ; capital

Produire crée de la richesse. La 1) valeur ajoutée, permet de rémunérer ceux qui ont participé à la

2)production. On distingue principalement deux types de 3) revenus primaires :

 les revenus 4) du travail, rémunèrent ceux qui ont participé à la production par leur travail. Il s'agit des

5) salaires et des primes, des avantages en nature.

 les revenus 6) du capital rémunèrent ceux qui ont participé à la production en apportant du capital

comme la mise à disposition d'éléments de 7) patrimoine tels que des locaux, des moyens financiers,

des innovations technologiques... Ces revenus peuvent prendre des formes multiples : intérêts,

dividendes, loyers, droits d'auteurs....On parle également de revenus de la 8) propriété.

Remarque : Ceux qui ont participé à la production à la fois par leur capital et par leur travail comme le font

les indépendants (médecins, exploitants agricoles, artisans) reçoivent des revenus appelés 9) revenus

mixtes.

La part de ces différents revenus dans la valeur ajoutée n'est pas immuable dans le temps. Depuis la fin

des années 50, deux périodes sont identifiables :

 La période 10) 1959-1983 est favorable aux revenus du 11) travail. Pendant cette période, la part

des revenus du travail dans la VA progresse jusqu'à attendre les ¾ de la valeur ajoutée.

 La période allant de 1983 jusqu'à aujourd'hui, qui rétablit l'équilibre en faveur du 12) capital. Dans

cette période, la part de l'EBE dans la VA remonte jusqu'à attendre 1/3 de la valeur ajoutée.

Le partage de la valeur ajoutée constitue en enjeu social, économique et politique considérable.

En effet, un partage trop favorable aux travail assure aux ménages une amélioration du niveau de vie

grâce à l'augmentation du 13) pouvoir d'achat, mais risque de limiter l' 14) investissement des

entreprises. Or, cet investissement est indispensable à la 15) croissance : sans remplacement des

machines, sans innovations, la production est vouée à stagner ou à se réduire.

Inversement,

...