Une société peut-elle se passer de religion ?
Commentaire de texte : Une société peut-elle se passer de religion ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nathan Marie • 28 Avril 2021 • Commentaire de texte • 1 509 Mots (7 Pages) • 1 150 Vues
Une société peut-elle se passer de religion ?
OUI
- Kant
- I justice de religions (homophobie, anti ivg
Religion non mises à jour (baisse de culte
- Conflit religieux (shoah, ouïgours)
- Religion contraire aux sciences (parler de bals pascal), (exemple d’écoles catho, musli), (La lutte des classes film)
NAN
- Stabilité sociale (
- Religion = échappatoire (prière avant travail (bre, pt))
- Stabilité morale (imam bonne parole, homme croyant = vide
Religion permet harmonie, respect de l’autre
- Société basée sur religion (calendrier, édifices, rythmes vie, cérémonies)
- Feuyeurbar
- Nietzch =homme a désirs donc religion calme désir C
- Durkheim = religion contribue au lien social B
CONCILLIER LES DEUX
- Exemple de société moderne
- Laïcité
- Tolérance (port du voile)
- assurer sécu sociale
- L’homme doit croire (pas que dieux, homme, lois, démocratie)
- Démocratie = régime ss religion (indé)
PLAN
I) La religion peut être un frein à la vie en société
- L’Incompatibilité des mentalités nouvelles et des principes anciens des religions
- Les dangers de l’omniprésence religieuse
- Kant conteste l’authenticité de la morale religieuse
II) Nonobstant, la religion contribue à la vie en société
- La religion est la base de certaines sociétés
- La religion favorise la cohésion sociale
Parler durkheim 1 page
- La religion pour combattre le mal de nos sociétés
III) Concilier religion et vie en société, un enjeu décisif
- Accepter la religion, la tolérance
- Le rôle des religions dans nos sociétés moderne
Religion civile
Introduction
De nos jours, on compte peu de sociétés sans religions. Dans l’histoire, les religions ont rassemblés des peuples (parfois contre leurs grés) autour d’une vision commune du monde et de la vie en communauté. Les religions sont à l’origine de toutes les traditions culturelles. Nous allons donc essayer de voir si une société peux se passer de religion. On définit par société un ensemble d’individus entretenants des rapports d’interdépendance, sous la forme de règles naturelles ou conventions. Cet ensemble est organisé par des institutions. RELIGION DEF Face à ce constat assez radical, nous sommes en droit de nous demander si une société sans religion serait imaginable. Dans quelles mesures et avec quelle importance une société a besoin de religion ? La religion peut-elle représenter un danger ? Peut-elle au contraire représenter un espoir dans nos sociétés ou le contact social semble en perdition ?
I) La religion peut être un frein à la vie en société
A) L’incompatibilité des mentalités nouvelles et des principes anciens des religions
De nos jours, nous sommes tous sensibilisés aux discriminations qui font défaut et constituent une réelle menace pour la vie en société. On voit par exemple de plus en plus d’individus homosexuels s’exprimer sur les injustices auxquelles ils font face au quotidien pour nous pousser à libérer la parole et à accepter tout le monde, quel que soit son orientation sexuelle. L’islam condamne l’homosexualité, et décrit cette pratique comme profane. Le profane est l’opposition au sacré. Ainsi, on peut considérer l’islam comme une religion dont certaines idées ne peuvent être promues dans notre société moderne. On peut condamner ainsi le christianisme, qui s’oppose à l’IVG (interruption volontaire de grossesse), ou bien encore à la PME (procréation médicalement assistée) jugés comme des pêchés alors que ces pratiques sont légales de nos jours et nombre de personnes militent pour les faire accepter dans l’opinion public.
B) Les dangers d’une omniprésence religieuse
Dans certaines sociétés où la religion tiens une place très importante, on observe une diminution des libertés individuelles. Parmi ces libertés ôtées, la liberté d’expression est très souvent l’ennemi principal de l’état. En effet, ces sociétés imposent parfois une religion au peuple, et toute critique de cette religion peut être punie. On a donc des populations se disant pieuses, mais n’ayant en réalité pas de notion du « sacré ». Le sacré est ambivalent, et est donc à la fois omniprésent et interdit. Ainsi, sa critique ou la représentation sous n’importe quelle forme peut être considérée comme un affront à la religion, donc à l’état et à la loi. A l’image de l’Iran où la frontière entre religion (ici l’Islam) et loi est parfois floue, certaines nations et certaines sociétés dans lesquelles la religion est omniprésente sont des nations aliénées de certaines libertés fondamentales. Pour prendre un autre exemple de liberté bafouée, on peut citer la liberté d’accès à l’éducation. Certaines religions proposent des explications à des faits réels, qui ne sont que très rarement appuyées d’étude et d’explications scientifiques. La science désignant un ensemble de connaissances sur un thème donné, pouvant être contredises, la religion elle impose ses vérités et ne permet de transmettre connaissances fiables et réelles. D’après Epcure, la religion est une fausse science car elle se base sur des miracles, et donc l’intervention de dieu sur des phénomènes naturels. Ainsi, notamment dans les sociétés catholiques, certaines Ecoles enseignent la religion, et tentent d’inculper aux élèves des explications religieuses à des phénomènes naturelles (la mort devient ainsi le début d’une seconde vie, ce qui scientifiquement n’as jamais été démontré ni même affirmé). Nelson Mandela disait « l’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde. Or, si cette éducation n’est pas fiable, on « arme » mal les nouvelles générations contre les contraintes futures. Un dernier danger des religions est la formation de sectes. Souvent plus radicales que les religions dites basiques, une secte a été caractérisé par le fait que la foi du croyant soit en un prophète qui dit avoir reçu la parole de dieu, et à confiance uniquement en la parole de ce prophète. Certaines sectes peuvent prêcher de mauvaises valeurs, voir la haine, car elles résident sur la parole d’un prophète, et non sur celle d’un dieu directement.
...