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Une prise de conscience est elle toujours liberatrice

Dissertation : Une prise de conscience est elle toujours liberatrice. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Juin 2016  •  Dissertation  •  1 181 Mots (5 Pages)  •  1 832 Vues

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"Une prise de conscience est-elle toujours libératrice?”

La conscience est la capacité de se percevoir, s'identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée. Elle est ce que l'on sent et ce que l'on sait de soi, d'autrui et du monde. En ce sens, elle englobe l'appréhension subjective de nos expériences et la perception objective de la réalité. La conscience n’existe donc pas de la manière des choses. Si l’on prend le mot exister, on pourrait même dire que seule la conscience existe: car “ ex-sister” c’est sortir de soi, être a distance de soi même. A ce mode spécifique d’ ex-sister, pour la conscience, est attache le problème de la liberté, focalise de la philosophie de Sartre, être conscient, un “ pour soi “ n’est pas la marque pour l’homme de sa liberté, c’est dire de sa possible de dépasser ce qu’il est?

La conscience correspond ou pouvoir d’une réflexion qui provient de soi même et qui permet a l’homme de prendre les mesures des causes qui vont le pousser a agir, ainsi que de subir les conséquences de son actions dans le temps. Si donc on suppose cela la conscience, l’homme possède la faculté précieuse de penses ses actes et agir de manière responsable. En outre il faut bien pourvoir comprendre si une prise de conscience est libératrice, ou si il s’agit du contraire.

Nous pouvons souvent parler de irresponsabilité, en admettant que la conscience existe, donc logiquement la prise de conscience peut être supposé libératrice.

Cependant lorsque nous parlons de liberté par la conscience elle doit être positive pour l’individu. La prise de conscience peut être dans certains cas plus importantes pour le soi, elle peut évidement définir le futur et être libératrice ou l’opposé en enclavant l’effet de liberté de la conscience. Donc nous pouvons nous demander si toute prise de conscience est toujours libératrice.

Pour certains philosophe comme Spinoza, la liberté et le libre arbitre n'est qu’une illusion “les hommes se croient libres pour cette seule cause qu’ils sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par ou ils sont déterminés”. Nous pouvons sans doute supposer que ce que nous croyons résultat de notre propre volonté est véritablement produit d’autre chose qui lui a précédé et qui le déterminera. Nous pouvons alors dire que Spinoza rejette la thèse du libre arbitre, en supposant qu’il y a des causes que nous ignorons et que nous croyons contrôle de notre conscience. La seule manière d’être libre pourra alors consister a comprendre ce en quoi notre conscience obéit pour pouvoir véritablement nous déterminer.

Tout individu est aussi guidé involontairement par son inconscient, l’inconscient va entrainer par intervention les pulsions, et comme dit Freud l’inconscient représente des plus grande partie de notre activité psychique ainsi que l’ensemble des désires qui se pressent vers le préconscient mais qui sont refoulés sous l’effet d’une censure morale interne au sujet. Freud va démontrer que par la psychanalyse un sujet peut prendre conscience de ces désirs et de se qui est refoulés dans l’inconscient et qui nous limites dans nos actions en paralysant la prise de conscience. Il va mettre donc en question la philosophie cartésienne, et le fait que tout sujet est transparent a lui même. Nous pouvons supposer alors que la conscience est capable de nous limiter et de nous permettre de nous éloigner de notre inconscience, de prendre donc recul de soi même. Donc la conscience va être libératrice au sens qu’elle nous éloigne de certains déterminisme refouler dans notre inconscience afin

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