Un rapport conjoint intitulé « le réfugié syrien entre échapper à la mort et tomber sur les bateaux de la mort »
Dissertation : Un rapport conjoint intitulé « le réfugié syrien entre échapper à la mort et tomber sur les bateaux de la mort ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Imperatrice Des Macarons • 17 Avril 2016 • Dissertation • 2 219 Mots (9 Pages) • 1 045 Vues
Un rapport conjoint intitulé « le réfugié syrien entre échapper à la mort et tomber sur les bateaux de la mort »
Depuis la mi-mars 2011, le nombre de fuyants a dépassé les trois millions d’humain, suite à la détérioration des situations humanitaires et à l’augmentation des accrochements militaires et affrontements sanglants, ainsi qu’à l’accentuation de la férocité, brutalité et la laideur des actes de violence, en plus à l’intensification de l’insécurité dans le pays. Les femmes et les enfants présentent environ quatre sur cinq de ces derniers, et il y’a approximativement deux-cents-soixante-cinq-milles familles syriennes réfugiées actuellement au Liban, la Jordanie, l’Egypte, l’Iraq et la Turquie, soit la moitié des familles syriennes réfugiées en totalité. Dans une déclaration spéciale du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits des réfugiés António Guterres, est venu ceci « la crise syrienne est devenue le plus grand état d’alerte humanitaire de notre époque, cependant le monde a échoué à disposer les besoins des réfugiés et les pays qui les accueillent... la majorité des réfugiés se trouvent dans des pays voisins, le plus grand nombre s’est réfugié au Liban (1,4 millions) puis (815000) en Turquie et (608000)en Jordanie , il y aussi 215000 en Iraq et le reste en Egypte et d’autres pays… les pays d’accueil estiment qu’il y a des milliers de syriens qui se sont réfugiés chez eux sans être officiellement inscrits … les syriens représentent actuellement le plus grand groupe de réfugiés dans le monde sous leur garde et vienne seulement uniquement en deuxième place après les réfugiés palestiniens qui sont dans un conflit prolongé avec Israël depuis des dizaines d’années et qui sont soumis à la garde d'une autre agence affiliée aux Nations Unies (UNRWA) qui secoure et emploie les réfugiés palestiniens.
Les camps de réfugiés syriens, ont reçu beaucoup d'attention internationale ,malgré que la majorité des syriens dans les premiers pays d’accueils (Egypte,Turquie,Jordanie,Liban) ne vivent pas dans ces camps, mais ce qui est estimé à 75% de ces réfugiés se sont déplacés dans des villes et des villages où vivent plusieurs personnes dans des logements temporaires partagés entre sept autres personnes minimum , et la majorité de ces derniers ne vivent pas dans ces camps là ,car ils ne leur suffisent pas , d'une autre part les réfugiés ont choisi de vivre hors de ces camps pour d'autres raisons : car quelques syriens ont la possibilité de payer le loyer pour y habiter , d'autres cherchent du travail et c'est ce que les camps ne procurent pas , il existe aussi d'autres raisons comme avoir de la famille ou quelques personnes de leur communauté ,en plus de l’ambiguïté qui entoure leur avenir .
D’un autre côté, le flot de ce grand nombre de réfugiés civils a contribué à influer sur la vie de nombreux quartiers dans le pays d’accueil, et même changer certains repaires dans ces pays.
Dans diverses villes, et spécialement celles qui se situes sur les frontières syriennes, la population a presque doublé. Et dans plusieurs quartiers (Amman, Irbid, Beyrouth, Tripoli, Caire, Alexandrie, Istanbul) de nouvelles boulangeries, nouveaux magasins et agences de voyages ainsi que de nouveaux restaurants gérés par les syriens ont apparu, ce qui ressemble à une version miniature d’Alep, de Homs, Deraa et Qamishli. De nombreux Syriens se rendent compte qu’ils vont rester en dehors de la Syrie ,du moins dans un avenir proche , et puis ils veulent s’adapter à leur nouvelle résidence (certaines statistiques en Jordanie , au Liban ainsi qu’en Turquie indiquent qu’il y a près de 86% des réfugiés syriens hors de des camps ,et travaillent on allant sur l’idée qu’ils y resteront longtemps ) .Et donc les syriens à l’étranger ne sont plus de simple réfugiés qui attendent la fin de la guerre , mais des immigrants qui cherchent la stabilité .
Le statut des réfugiés syriens
Les conditions de vie actuelles pour la plupart des réfugiés syriens au Liban et en Jordanie ainsi qu’en Egypte sont très mauvaises, et en Turquie la situation se dégrade et se détériore d’une façon inquiétante surtout avec la fréquence croissante des attaques sur certains réfugiés syriens. Lorsque ces derniers sont entrés au (Liban-Jordanie-Egypte-Turquie) pour la première fois en 2011 ,ils ont été pris pour des « invités » , et en les classant ainsi ,les gouvernements hôtes ont pensé qu’ils ne seront pas tenus d’appliquer les normes internationales pour protéger les réfugiés selon la définition du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) qui procure la base juridique pour la survie des réfugiés dans le pays , et garantit qu’ils ne seront pas contraint de retourner à leur pays . Mais les gouvernements locaux ont dû changer de cap et assurer le statut de protection temporaire des réfugiés syriens (Jordanien décembre 2011 – égyptien mars 2012 – libanais novembre 2012 –turque novembre 2011).Aussi, une protection temporaire a été accordée pour les réfugiés palestiniens venus de Syrie.
En 2013, tous les gouvernements hôtes ont pris des étapes supplémentaires, en mettant au point de nouveaux systèmes juridiques pour la protection et l’aide de ceux qui veulent l’asile. Autrefois , les gouvernements ont parlementé avec ceux qui veulent se réfugier sans aucune garantie ou procédures judiciaires objectives comme le contrôle judiciaire des décisions administratives propre à l’asile et aux mécanismes de sa mise en œuvres ,cependant , actuellement et dans tous les pays hôtes , les réfugiés syriens se sont engagés à négocier avec les nouvelles institutions gouvernementales de gestion des migrations avec les réfugiés syriens et supervisent la mise en œuvre de ces nouvelles règles juridiques .
Mais la protection temporaire ainsi que les nouvelles lois d’asile laissent toujours beaucoup de syriens dans un état lamentable, car la loi ne s’applique pas d’une façon juste, aussi parce qu’ils ne trouvent pas de ressources si les états refusent de leur procurer le statut de protection temporaire. Les instructions légales locales ne traitent pas les situations illégales des réfugiés dans les villes et les villages, où leurs besoins réels sont inconnus en commençant : par l’alimentation arrivant au logement et l’éducation. Et plus important encore, est que l’état de protection temporaire ne permet pas au syrien de travailler facilement dans les endroits où ils se trouvent. Selon une enquête menée dernièrement sur les syriens qui vivent hors des camps de réfugiés « au Liban, Jordanie et Turquie » environ 77% des répondants à l’enquête cherchent un travail. On exploite le besoin des syriens pour le travail autant que main-d’œuvre bon marché, et c’est ce qui s’est décelé de la baisse continue des salaires des travailleurs dans des industries comme celle du bâtiment ,le tissage ainsi que les industries lourdes et l’agriculture, et dernièrement , on a permis de munir quelques syriens de permis de travail légal à courte durée - ou court terme – en plus de la formation professionnelle et les avantages de la sécurité sociale.
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