Quelles sont les différences entre la vérité de l’église et la vérité scientifique ?

« Non, la science n'est pas une illusion. Mais ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu'elle ne peut pas nous donner » dans cette citation, Freud montre toute l’importance de la science dans la société. De plus il contredit toutes les théories religieuses qui se prétendent avoir la vérité mais qui n’ont pas été obtenues suite à des recherches mais suite à des paroles. Russell dévoile les différentes visions de la vérité face à deux disciplines qui se sont longtemps concurrencé, la science et la religion. En effet que ce soit l’histoire du prêtre  Giordano Bruno, qui exprima une thèse contredisant les pensées de l’église au travers des lois homogènes. L’église lui arracha sa langue et le fit bruler vif pour hérésie. Dans cette extrait les deux vérités, celles de l’église et celle scientifique sont confrontées, par leur longévité ou encore leur apparitions mais sont-elles vraiment si différente? Quelles sont les différences entre la vérité de l’église et la vérité scientifique ?

L’auteur expose, dans un premier temps les différences entre les crédos religieux et les théories scientifiques. En effet les crédos religieux sont extraits des principes d’une religion. Or une religion représente l’esprit absolu pour  la représentation, mais aussi pour la pensée et la connaissance. Ces croyances sont de vérités pour les personnes adeptes de ces religions. Elles sont de ce fait toujours vraies, donc par leur nature irréfutable de  même qu’elles peuvent pour la plupart des religions relevé du sacré et de l’irrationalisme, tels qu’avec comme exemples les miracles qui sont comté de génération en génération mais sans avoir aucune preuve. Ce qui s’oppose avec les théories scientifiques, qui bâtissent leurs raisonnements en suivant des protocoles tels que pour commencer une hypothèse, qui induit une question ou un problème et ensuite des expérimentation qui vont avoir pour but de justifier de manière rigoureuse et concrète des phénomènes ou des résolutions de problèmes. Toutefois comme l’exprime Russell dans son œuvre toutes les vérités scientifiques sont la science n’est pas une vérité éternelle et elle a pour vocation à être modifier, améliorer, contesté par des nouveaux raisonnements, avec l’aide des progrès technologiques donc l’avancé des techniques des outils. L’exemple de l’équivalent des hypothèses est totalement en accord avec l’auteur. Ptolémée était un théoricien pendant l’antiquité qui prouva de manière scientifique le principe de géocentrisme. Le géocentrisme est une théorie selon laquelle la terre serait immobile et au centre de l’univers et que ce serait qui tournerait autour de la terre. Cependant cette thèse a été modifiée par Copernic au XVIème siècle avec son hypothèse de l’héliocentrisme. Cette hypothèse, à l’inverse de l’hypothèse géocentrisme qui dévoile que la terre reste immobile, Copernic propose que ce soit le soleil qui reste immobile mais que la terre tourne autour de lui. Cette théorie fut appuyée par les travaux de Kepler qui trouva la solution dans son livre intitulé : Astronomia nova.

Puis dans un second temps l’auteur met en avant le fonctionnement de la science actuellement mais aussi le système des théories scientifiques. En effet, de nos jours les progrès scientifiques effectués en un siècle ont permis un développement considérable dans les techniques de mesures et dans toutes les technologies. Elles ont ainsi augmenté la puissance de calcul qui a connu une croissance  considérable. Toutes ces innovations ont permis d’obtenir des observations de plus en plus minutieuses  rendant grossiers et inexactes les travaux  effectuer précédemment. L’exemple de la constante π,  cette constante découverte par Archimède au troisième siècle avant Jésus Christ et qui désigne un rapport entre le périmètre ou l’aire d’un cercle et de son rayon. A l’époque d’Archimède il réussit à déterminer une approximation de ses valeurs en utilisant des hexagones. Il arriva alors à une valeur de π égale à : 3.14185. Cette valeur ce rapproche des première décimal de π qui sont : 3.141596, mais de nos jours grâce à des puissants calculateurs, les scientifiques ont déterminé que π possédait une infinité de chiffre après la virgule  qui ne se répétait pas. Donc la théorie d’Archimède est comme le qualifie Russell, est une approximation grossière malgré qu’elles possèdent une part de vérité. Il met en avant  la fertilité de premières expérimentations. En effet par ces propos ; « d’un certain degré de vérité pratique » qui semble paradoxale. Car de part sa définition, une vérité est une chose qui est toujours vraie qui est irréfutable mais aussi quelque chose que personne ne nier. Or la notion de vérité pratique est contradictoire avec elle. Signifier qu’il existe une vérité pratique détruit l’idée de vérité. C’est ce qui passe pendant les guerres en effet c’est exactement le principe de censure et de propagande où la vérité pratique est celle que la vie n’est pas difficile sur le champ de bataille, qu’il n’y a pas beaucoup de combat et mort exactement ce qui s’est passé en France pendant la seconde guerre mondiale. Dans lequel l’état Français a préféré mettre sous silence la vérité pour plutôt mettre en place une vérité pratique  qui revient au mensonge sur autrui. Il dévoile en quoi, elles ont été importante, elles ont permis de démocratiser un phénomène de le faire connaitre au grand public, pour que de nouvelles recherches y soit consacrées pour arriver à des résultats encore plus précis et de meilleurs qualité. Toutefois ces résultats obtenus de manière expérimentale remettent en cause la possibilité d’avoir une vérité absolue mais plutôt une vérité technique, qui sera dépassé et de plus en plus précise au court du temps.  

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