LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Qu'est ce qu'un artiste ?

Dissertation : Qu'est ce qu'un artiste ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Novembre 2021  •  Dissertation  •  4 059 Mots (17 Pages)  •  422 Vues

Page 1 sur 17

 JEAN DE LERY, Histoire d’un voyage en la terre du Brésil (1578)

Le XVIème siècle est appelé « la Renaissance » car le monde change tant qu’il s’agit

d’un bouleversement profond des

représentations du monde et des hommes. Un des événements majeurs de cette

époque consiste en la découverte du Nouveau

Monde, l’ancien monde est l’Europe, les explorateurs naviguent et découvrent

l’Amérique et l’Asie.

Auteur : Jean de Léry né en 1536 est un français d’origine modeste se convertit au

protestantisme

Il va vire environ 1 an en compagnie de Tupinamba. C'est en 1578 qu'il va publier son

livre "Histoire d’un voyage en la terre du Brésil". Ce récit de voyage se compose de 22

chapitres qui décrivent le voyage de Léry puis la vie de Léry avec les Tupinambas.

La deuxième parti du 16 eme siècle est très tourmenté a cause de nombreuse guerre de

religion entre les protestants et les catholiques. On remarque de nombreux massacre

comme celui de la Saint Barthélemy qui se deroula en 1572.

LIRE LE TEXTE

Ce court texte informe le lecteur offre une description physique et morale des

Tupinambas. Pourtant, ce texte n’est pas seulement informatif, il possède une réelle

intention de d'argumenté car il s’agit de convaincre les Européens de la valeur des «

sauvages ».

1. Etude du premier mouvement du texte de la ligne 1 à 10 : la description physique

avantageuse des Tupinambas

Le texte débute par un connecteur logique. Léry veut mettre son lecteur en confiance, il

fonde son écrit sur la raison pour lui assurer de la crédibilité. Cela permet au lecteur de

se reperer plus facilement. Ensuite, il nomme ceux qu’il a observé avec précision

comme l’attestent les majuscules employées : Sauvages/Amérique/Brésil/Tupinambas

→ il s’agit d’un nouveau monde il faut de nouveaux mots.

Ensuite Jean de Lery va annoncer que non seulement les Indiens ne sont pas des

monstres, mais sont supérieurs aux Européens car ils sont plus robustte « plus forts,

plus robustes » ligne 6. Ils sont aussi resistant au maladie « moins sujets aux maladies »

ligne 7.

2. Etude du 2è mouvement : de la ligne 10 à la ligne 16 : les explications de leur parfaite

constitution

La longue phrase construite en deux temps « non seulement »/ »mais aussi ». Jean de

Lery essaye de montrer cette supériorité des Tupinambas. Encore une fois on retrouve

le fait que Jean de Lery essaye de convaincre ces lecteurs.

Le premier argument est le climat favorable du pays des Sauvages grâce à des adjectifs

mélioratifs « bon air », « bonne température » et « champs verdoyants ». On croirait que

Jean de Lery décrit le paradis.

Ensuite Jean de Lery va comparer les Européens aux Tupinambas : ils vivent

sereinement, ne se causent pas de soucis inutiles

3. Etude du 3è mouvement du texte de la ligne 17 à 19 : considérations sur leur couleur

de peau

Jean de Léry justifie leurs couleurs de peau par le climat, leur couleur est donc naturelle.

Léry rejette l’adjectif attribut « noir » et impose « basané » et va comparer les

Tupinambas aux méditerranéens.

Pour conclure la description physique des Tupinambas est l’occasion pour Léry de

dresser un plaidoyer en faveur de cette tribu. Il adopte diverses stratégies : il valorise

leur constitution qui assure une longévité étonnante, mais aussi leur pays et leur

sérénité. Il s’attache à montrer aux Européens qu’ils leur ressemblent, voire même qu’ils

leur sont supérieurs.

Léry et Montaigne comme tous les humanistes tendent à prendre l’autre en

considération, et à chercher non des preuves de leur infériorité mais des manifestations

de leur appartenance à l’humanité malgré leurs spécificités.

------------------------------------------------------------------------------------------------

LECTURE LINEAIRE 1 : FIN DU 2EME PROLOGUE ET DEBUT ACTE I, SCENE 1

INTRODUCTION

Molière a inventé le genre de la comédie-ballet avec Lully pour le plaisir du roi Louis XIV

en

1661 pour leur pièce Les Fâcheux. Le Malade imaginaire : dernière œuvre dramatique

écrite par Molière, est une comédieballet en trois actes et en prose, créée le 10 février

1673 par la Troupe du Roi sur la scène du Palais-Royal

Molière joue Argan : le 17 février 1673, la Troupe du Roi donne la 4 représentation du

Malade imaginaire. Il doit sortir de scène et meurt chez lui quelques heures après.

LECTURE

Caractérisation du texte

D’abord, la fin du 2ème prologue est composée en vers irréguliers (4 alexandrins suivis

d’une alternance d’octosyllabes et alexandrins) sur le mode de la pastorale. Puis, le

début de la scène d’exposition de la pièce, rédigée en prose, à proprement parler

présente Argan qui fait ses comptes.

Enjeux du texte

Molière pratique un esthétique du contraste pour divertir son spectateur et proposer un

véritable spectacle. Molière cherche à faire rire en ridiculisant Argan.

Plan du texte

Vers 1 à 10 : la bergère condamne les médecins charlatans

Lignes 11 à 24 : Argan, seul dans sa chambre, fait ses comptes.

Problématique : Comment Molière dès le début de la pièce, offre-t-il un véritable

spectacle, pour plaire et instruire le lecteur/spectateur ?

1) Etude la première partie du texte des vers 1 à 10

Les 1ers mots du texte donnent le ton « ces remèdes peu sûrs »

o Le passage déploie le champ lexical de la médecine → thème principal du

texte

Le vers 3 indique l’inefficacité des médecins « n’ont rien de salutaire » grâce à l’adverbe

de négation absolue « rien » ; les vers suivants vont multiplier les négations et formules

...

Télécharger au format  txt (26.2 Kb)   pdf (100.3 Kb)   docx (25.6 Kb)  
Voir 16 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com