Présentation d’un philosophe Rousseau
Fiche de lecture : Présentation d’un philosophe Rousseau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Florent Chen • 4 Février 2019 • Fiche de lecture • 462 Mots (2 Pages) • 624 Vues
La vie du philosophe
Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à
Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. Rousseau,
qui est orphelin de mère, est abandonné par son père à l'âge de 10 ans et élevé par son
oncle. Il est livré à lui même à une éducation et des débuts complexes. “ Jeté dès mon
enfance dans le tourbillon du monde” Tirée de TROISIÈME PROMENADE de
Rousseau.
En 1742 Rousseau se rend à Paris pour y gagner sa vie ensuite Il fait la connaissance de
Diderot, puis trouve un poste de secrétaire chez Mme Dupin c’est la moment où il
compose de la musique et semble biens s’adapter aux moeurs et aux vices de la société
française.
Il révèle ses talent de philosophe en publiant son Discours sur les sciences et les arts,
sujet proposé par l’Académie de Dijon.
En 1755, Rousseau compose un second Discours, sur l’origine de l’inégalité parmi les
hommes, qui ne connaît aucun succès comme le précédent
l'homme est né libre et partout il est dans les fers
Cette citation de l’ouvrage « Du contrat social »
Fers qui signifie les chaînes des prisonniers.
La liberté est relative, l’homme est né libre mais passe sa vie à restreindre ses libertés à
causes des lois et devoirs.
Les fers représentés donc les lois et devoirs de l’Homme.
Et la Liberté est relative on ne peut faire ce que l’on veut sans contrainte
Savez vous quel est le plus sûr moyen de rendre votre enfant misérable?
C’est de l’accoutumer à tout obtenir.
On donne a un enfant tout ce qu’il désir il va en demander plus, jusqu’à ne plus
pouvoir lui donner ce qu’il désir. Ce refus sera pour lui la pire désillusion lui qui se
croyait tout permis aura en lui une haine et jamais il pourra être heureux, il sera
misérable.
L'adversité sans doute est un grand maître, mais il fait payer cher ses
leçons, et souvent le profit qu'on en retire ne vaut pas le prix qu'elles ont
coûté.
Rousseau explique ici que le savoir est toujours bon à prendre mais n’est utile que
pour le futur et cette sagesse ne peut être utiliser pour le passer, il dit aussi que les
appris de la jeunesse dessert la vieillesse.
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